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Citations sur le socialisme
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Citations drôles, acerbes ou réalistes sur le socialisme
Article détaillé : Socialisme.
- Il y a la spoliation extra-légale et la spoliation légale […] Or, la spoliation légale peut s'exercer d'une multitude infinie de manières ; de là une multitude infinie de plans d'organisation : tarifs, protection, primes, subventions, encouragements, impôt progressif, instruction gratuite, Droit au travail, Droit au profit, Droit au salaire, Droit à l'assistance, Droit aux instruments de travail, gratuité du crédit, etc. Et c'est l'ensemble de tous ces plans, en ce qu'ils ont de commun, la spoliation légale, qui prend le nom de Socialisme.
- Frédéric Bastiat, La Loi[1]
- Si j’avais le malheur de ne voir dans le capital que l’avantage de capitalistes, et de ne saisir ainsi qu’un côté, et, assurément, le côté le plus étroit et le moins consolant de la science économique, je me ferais Socialiste ; car de manière ou d’autre, il faut que l’inégalité s’efface progressivement, et si la liberté ne renfermait pas cette solution, comme les socialistes je la demanderais à la loi, à l’État, à la contrainte, à l’art, à l’utopie.
- Frédéric Bastiat, Lettre à Proudhon[2]
- Le socialisme ne produit rien, il se borne à dissiper ce qu'a créé la société fondée sur la propriété privée des moyens de production. Étant donné qu'il ne peut pas y avoir d'organisation socialiste de la société, toute étape dans la voie du socialisme aboutit à la destruction de l'ordre existant.
- Le socialisme est monopoleur. Entre autres monopoles, il prétend constituer celui de l'intelligence et de l'humaine bonté. La doctrine la plus informe, la plus indigente, la construction théorique la plus anémique, le raisonnement le plus plaisant, se parent de prestiges, lorsqu'ils peuvent revêtir l'uniforme socialiste.
- La marque essentielle du socialisme est que seule une volonté unique agit.
- Le socialisme n'a pas échoué en raison de résistances idéologiques, il reste l'idéologie dominante. Il a échoué parce qu'il est irréalisable.
- Le socialisme, c’est une attaque tantôt directe, tantôt indirecte mais toujours continue aux principes mêmes de la propriété individuelle ; c’est une défiance profonde de la liberté, de la raison humaine ; c’est un profond mépris pour l’individu pris en lui-même, à l’état d’homme ; ce qui caractérise [les systèmes qui portent le nom de socialisme], c’est une tentative continue, variée, incessante, pour mutiler, pour écourter, pour gêner la liberté humaine de toutes les manières ; c’est l’idée que l’État ne doit pas seulement être le directeur de la société, mais doit être, pour ainsi dire, le maître de chaque homme – que dis-je ! son maître, son précepteur, son pédagogue ; que de peur de le laisser faillir, il doit se placer sans cesse à côté de lui, au-dessus de lui, autour de lui, pour le guider, le garantir, le retenir, le maintenir ; en un mot, c’est la confiscation de la liberté humaine. À ce point que si en définitive j’avais à trouver une formule générale pour exprimer ce que m’apparaît être le socialisme dans son ensemble, je dirais que c’est une nouvelle formule de la servitude...
- L’idée de base qui anime le socialisme dans son essence même peut se caractériser ainsi : les individus sont par nature incapables de diriger judicieusement et efficacement leur vie par eux-mêmes ainsi que de coopérer volontairement et équitablement entre eux.
- On nous place entre les deux alternatives, la république rouge ou le socialisme, c'est-à-dire la bourse ou la vie.
- Victor Hugo (Choses vues)
- Le socialisme, c'est la communauté du mal, l'imputation faite a la société des fautes individuelles, la solidarité entre les délits de chacun. La propriété, au contraire, par sa tendance, est la distribution commutative du bien et l'insolidarité du mal.
- C'est l'ignorance sociale qui fait la fortune du socialisme.
- Le socialisme est la forme aiguë de l'antilibéralisme. Il consiste en son fond, et en quelque variété ou sous-variété qu'on le considère, à désirer que tout soit fait par l'État, que tout soit réglé par l'État et qu'il n'y ait que l'État.
- Le socialiste est un économiste à qui l'économie politique est indifférente. Le fond vrai du socialisme c'est : "il est insupportable que quelqu'un possède plus qu'un autre, parce que c'est une supériorité". (...) La propriété individuelle choque tellement l'égalité que proclamer l'une c'est abolir l'autre.
- Il est fort regrettable qu’une partie de notre communauté soit pratiquement réduite en esclavage, mais suggérer pour résoudre ce problème d’asservir la communauté toute entière est puéril.
- Oscar Wilde
- Le marxisme et le national-socialisme ont en commun leur opposition au libéralisme et le rejet de l'ordre social et du régime capitaliste. Les deux visent un régime socialiste.
- Le socialisme des armées du service militaire obligatoire demande comme complément dans le pays le socialisme du service du travail obligatoire.
- Les socialistes croient à deux choses qui sont absolument contradictoires : la liberté et l'organisation.
- L'erreur fondamentale du socialisme est de caractère anthropologique. En effet, il considère l'individu comme un simple élément, une molécule de l'organisme social, de sorte que le bien de chacun est tout entier subordonné au fonctionnement du mécanisme économique et social, tandis que, par ailleurs, il estime que ce même bien de l'individu peut être atteint hors de tout choix autonome de sa part, hors de sa seule et exclusive décision responsable devant le bien ou le mal. L'homme est ainsi réduit à un ensemble de relations sociales, et c'est alors que disparaît le concept de personne comme sujet autonome de décision morale qui construit l'ordre social par cette décision. De cette conception erronée de la personne découlent la déformation du droit qui définit la sphère d'exercice de la liberté, ainsi que le refus de la propriété privée. En effet, l'homme dépossédé de ce qu'il pourrait dire « sien » et de la possibilité de gagner sa vie par ses initiatives en vient à dépendre de la machine sociale et de ceux qui la contrôlent ; cela lui rend beaucoup plus difficile la reconnaissance de sa propre dignité de personne et entrave la progression vers la constitution d'une authentique communauté humaine.
- Jean-Paul II (encyclique Centesimus Annus, 1er mai 1991)
- Le socialisme, c'est toujours l'histoire d'une spoliation méthodique exercée aux dépens du peuple. Les unes après les autres, les catégories sociales et professionnelles se font arracher progressivement leur bien. Puisque les besoins sont sans limite, la spoliation l'est aussi. Elle ne cesse qu'avec le dépouillement complet des victimes. Malheureusement pour l'oligarchie au pouvoir, les dites victimes viennent ensuite grossir la masse des assistés, ce qui oblige à de nouvelles spoliations exercées contre des catégories de moins en moins aisées. Quand il n'y a plus de gens à dépouiller, le socialisme redistributeur cesse et se fait violent afin d'étouffer le mécontentement général.
- L’homme de gauche n’annonce la société solidaire que comme la prostituée promet l’amour. L’un et l’autre ne peuvent offrir que des simulacres (ivresse passagère et frustration). Ils instaurent le règne du faire-semblant, de la pornographie généralisée.
- Christian Michel (Le Socialisme, pornographie de la Solidarité)
- Il y a une différence entre ce que les institutions permettent et ce qu'elles exigent. Si tout le monde dans une société capitaliste était convaincu qu'un but commun donné était désirable, il n'y aurait rien dans la structure des institutions qui empêcherait les gens de coopérer pour atteindre ce but. Le capitalisme autorise un conflit de finalités, il ne requiert pas un but commun à tous. Ce n'est pas le cas du socialisme. Une société socialiste ne peut fonctionner que si les gens ont tous le même but. Sinon cette société s'effondre, ou pire, se transforme comme en Union soviétique en une parodie monstrueuse des idéaux socialistes.
- (...) En suivant les traditions morales spontanément générées qui sous-tendent l'ordre de marché concurrentiel (traditions qui ne satisfont pas les canons ou les normes de rationalité acceptés par la plupart des socialistes), nous pouvons générer et préserver plus de connaissances et de richesses que nous ne pourrions jamais en obtenir ou en utiliser dans une économie centralement dirigée dont les défenseurs disent pourtant procéder strictement en accord avec la raison. Les buts et les programmes socialistes sont donc impossibles à accomplir et à exécuter ; ils sont aussi et par surcroît logiquement impossibles.
- Friedrich Hayek (La Présomption fatale)
- Le socialisme n'a pour les ouvriers que mépris et dégoût.
- On pensait d'ordinaire que le socialisme était une sorte de libéralisme augmenté d'une morale. L'État allait prendre votre vie économique en charge et vous libérerait de la crainte de la pauvreté, du chômage, etc., mais il n'aurait nul besoin de s'immiscer dans votre vie intellectuelle privée. Maintenant la preuve a été faite que ces vues étaient fausses.
- George Orwell (Literature and Totalitarianism, 1941)
- Le socialisme est le fantastique frère cadet du despotisme presque défunt, dont il veut recueillir l’héritage ; ses efforts sont donc, au sens le plus profond, réactionnaires. Car il désire une plénitude de puissance de l’État telle que le despotisme seul ne l’a jamais eue, il dépasse même tout ce que montre le passé, car il travaille à l’anéantissement formel de l’individu : c’est que celui-ci lui apparaît comme un luxe injustifiable de la nature, qui doit être par lui corrigé en un organe utile de la communauté.
- Friedrich Nietzsche (Humain, trop humain, 473)
- Quand les socialistes auront toutes les responsabilités du pouvoir, ils auront à lutter, d'une part, contre les incapables, les paresseux, les natures indisciplinées, et de l'autre contre les forts, les habiles, les gens intelligents et énergiques qui seront mécontents de la part qui leur est faite.
- Vilfredo Pareto, "Systèmes Socialistes" in Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, Payot, Paris, 1951 p. 13
- Le socialisme ne fonctionne qu'au paradis, où l'on peut s'en passer, et en enfer, où on l'a vraiment.
- Le socialisme a un record d'échecs si flagrant que seul un intellectuel pourrait l'ignorer.
- Le socialisme actuel est un état mental bien plus qu’une doctrine. Ce qui le rend si menaçant, ce ne sont pas les changements encore très faibles qu’il a produits dans l’âme populaire, mais les modifications déjà très grandes qu’il a déterminées dans l’âme des classes dirigeantes. La bourgeoisie actuelle n’est plus sûre de son droit. Elle n’est d’ailleurs sûre de rien et ne sait rien défendre. Elle écoute ce qui se dit et tremble devant les plus pitoyables rhéteurs. Elle est incapable de cette volonté forte, de cette discipline sévère, de cette communauté de sentiments héréditaires, qui sont le ciment de toute société.
- Gustave Le Bon, Psychologie du Socialisme, 1898
- Si le socialisme est si puissant aujourd’hui, c’est qu’il constitue la seule illusion qui soit encore vivante. Malgré toutes les démonstrations scientifiques, il continue à grandir. Sa principale force est d’être défendu par des esprits ignorant assez les réalités des choses pour oser promettre hardiment à l’homme le bonheur. L’illusion sociale règne aujourd’hui sur toutes les ruines amoncelées du passé, et l’avenir lui appartient. Les foules n’ont jamais eu soif de vérités. Devant les évidences qui leur déplaisent, elles se détournent, préférant déifier l’erreur, si l’erreur les séduit. Qui sait les illusionner est aisément leur maître ; qui tente de les désillusionner est toujours leur victime.
- Gustave Le Bon
- Les capitalistes cupides gagnent de l'argent en vendant des services. Les bons socialistes, eux, ils le volent.
- Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres.
- Je n'ai jamais oublié que l'objectif inavoué du socialisme - municipal ou national - était d'accroître la dépendance. La pauvreté n'était pas seulement le sol nourricier du socialisme : elle en était l'effet délibérément recherché.
- L'homme supérieur demande tout à lui-même ; l'homme vulgaire demande tout aux autres.
- Confucius
- Sur le plan des croyances, pour beaucoup de gens, le socialisme a remplacé de fait le christianisme, l'État a remplacé l'Église, la législation la théologie, le mode de pensée étatique le mode de pensée ecclésiastique.
- Dalmacio Negro Pavón
- Le socialisme est simplement un capitalisme dégénéré promu par des capitalistes faillis. Son objet véritable est d’obtenir plus d’argent pour ceux qui le professent.
- Le socialisme est une philosophie de l'échec, le credo de l'ignorance et l'évangile de l’envie.
- La seule chose que le socialisme ait jamais faite pour les pauvres est leur donner beaucoup de compagnie.
- Il n’y a pas de différence entre communisme et socialisme, si ce n'est dans la façon d’atteindre le même but ultime : le communisme propose l'esclavage par la force, le socialisme par le vote. La différence est la même qu’entre le meurtre et le suicide.
- La démocratie c'est l'égalité dans l'indépendance, la liberté ; le socialisme, c'est l'égalité dans la contrainte, la servitude.
- La magie croit aux transformations immédiates par la vertu des formules, exactement comme le socialisme.
- Être socialiste, c’est rêver un monde à sa façon et à sa main dans lequel l’excitation de la jalousie des uns se cache sous la tunique de la justice sociale afin que la cleptocratie s’épanouisse, au détriment de ceux dont le talent au service des autres justifie la réussite. C’est, en toute bonne foi et bonne conscience, estimer juste de dépouiller les uns, les riches, pour habiller les autres, les pauvres. La vérité est que la spoliation des uns fait les suffrages des autres.
- Serge Schweitzer (La droite française est-elle libérale ?, Libres ! 100 idées, 100 auteurs)
- Le socialisme a été pensé et conçu dans un seul but exclusif : certainement pas gérer une économie de marché et lui fournir les biens et services publics nécessaires à son épanouissement, mais prendre le pouvoir pour installer un régime communiste. Ainsi, le rose finit toujours par virer au rouge, programme qui a été fidèlement et scrupuleusement appliqué par Lénine, Mao, Castro et tant d’autres petits « pères des peuples ». Loin d’être une analyse et objective du fonctionnement de l’économie et de ses mécanismes de croissance, le Capital de Marx n’a été écrit que dans ce but. Et le programme politique qui en découle a clairement été exposé dans le Manifeste du Parti Communiste rédigé par Marx et Engels. Comme dans Mein Kampf de Hitler, tout est écrit. On ne peut pas dire « je ne savais pas ».
- On ne peut être à la fois intelligent, socialiste et de bonne foi.
- La seule explication rationnelle aux désastres engendrés par les socialistes, c’est qu’ils ont essayé de nous affranchir de toute richesse, utile et inutile pour enfin nous libérer de ce matérialisme sordide que génère le capitalisme. La pauvreté la plus totale a suivi leur passage au pouvoir.
- Si la jalousie, l'envie et la haine pouvaient être éliminés de l'univers, le socialisme disparaîtrait le même jour.
- Gustave Le Bon
- Les socialistes aiment leur liberté mais ont peur de celle des autres. Les libéraux aiment la liberté des autres car elle garantit la leur.
- Le socialisme est cette idée bizarre selon laquelle les hommes, incapables de se gouverner eux mêmes, seraient tout à coup capables de gouverner les autres en devenant hommes d’État.
- Le communisme fournit aux individus des plaisirs inférieurs, mais qui n'en sont pas moins des plaisirs. Si, préalablement avilis, les hommes finissent par se plaire dans la paresse et l'irresponsabilité crasses, s'ils finissent par aimer une vie végétative de clochard, d'asilaire ou de relégué, le socialisme leur donne d'infinies possibilités de les réaliser. La loi du moindre effort qui aboutit au socialisme règle aussi le socialisme. Une fois qu'on y est, on n'a plus envie d'en sortir et l'on tâche seulement d'aménager sa bauge confortablement.
- Alain Besançon (La normalité du communisme selon Zinoviev)
- Le socialisme peut servir à enseigner de façon brutale et frappante le danger de toutes les accumulations de puissance dans l’État, et en ce sens insinuer une méfiance contre l’État même. Quand sa rude voix se mêlera au cri de guerre : « Le plus d’État possible », ce cri en deviendra d’abord plus bruyant que jamais : mais bientôt éclatera avec non moins de force le cri opposé : « Le moins d’État possible. »
- Friedrich Nietzsche (Humain, trop humain, 473)
- Le socialisme échoue toujours, quelles que soient les formes qu’il prend, communisme ou social-démocratie, parce que la création de richesses ne se décrète pas, parce qu’elle n’est pas le résultat des stimuli des dépenses publiques, qui ne permettent que de faire plaisir à sa clientèle électorale, parce que seule la liberté économique permet la prospérité.
- Le socialisme, c'est le Mal incarné, déguisé en Bien. C'est le Diable lui-même, qui s'habille en Saint pour séduire ses victimes, et corrompre à sa cause les âmes les plus pures. Sous couvert de générosité, c'est la justification de la force, de la violence et de l'agression comme moyens pour imposer un pouvoir total et arbitraire des vainqueurs au nom même de leurs victimes.
- Les socialistes ont eu tort de venir au pouvoir. Ils auraient dû faire comme Dieu : ne jamais se montrer pour qu'on continue à y croire.
- Coluche
- Le socialisme a toujours été une idéologie confortable, car elle crée l'illusion que l'être humain n'a pas besoin d'assumer la responsabilité de ses propres actes, voire de sa propre existence.
- Le socialisme vraiment dangereux, ce n'est pas celui qui est à venir et qui ne vient jamais : c'est celui qui existe aujourd'hui, qui nous enserre de toutes parts, que le passé nous a légué de siècle en siècle, qui vit dans les institutions, dans les lois, dans les préjugés, dans les esprits, dans les mœurs.
- Tout socialisme conduit à l'esclavage de l'individu. Car qu'est-ce qu'un esclave ? C'est quelqu'un dont autrui est le propriétaire. Pour ne pas rester nominale, la propriété implique le contrôle des actes de l'esclave au profit du contrôleur. Ce qui définit exactement un esclave qui travaille sous la coercition pour satisfaire les désirs de quelqu'un d'autre.
- Herbert Spencer (Fortnightly Review, janvier 1884)
- Dans la pratique, le socialisme corrompt non seulement l'économie, mais l'esprit humain lui-même, et érode l'ambition et la réussite qui ont rendu possible le capitalisme moderne et sorti des milliards de personnes de la pauvreté. Parler de socialisme est un énorme luxe, un luxe payé par les succès du capitalisme. L'inégalité des revenus est un gros problème, c’est certain. Mais l'idée que la solution est davantage d’État, de régulation, de dette, et moins de risque, est dangereusement absurde.
- Garry Kasparov (mars 2016)[6]
- Le socialisme est né de l’abondance créée par le capitalisme, et de l’incapacité des intellectuels à la comprendre.
- Par la norme et par l'impôt, l'Occident s'est engagé dans un processus de socialisation sans précédent dans son histoire. Jamais la redistribution par l'impôt n'avait atteint les seuils que nous lui connaissons ; jamais aucun être humain n'a ployé sous un volume de normes comparable à celui qui frappe l'Européen contemporain.
- Drieu Godefridi (La passion de l'égalité : Essai sur la civilisation socialiste, 2017)
Notes et références
- ↑ La Loi
- ↑ Gratuité du crédit — Quatorzième lettre
- ↑ L’horreur socialiste, par Alain Laurent
- ↑ “Socialism in general has a record of failure so blatant that only an intellectual could ignore or evade it”, extrait de “The Survival of the Left”, [lire en ligne]
- ↑ Le gauchisme : la maladie mentale de la France
- ↑ “Socialism sounds great in speech soundbites and on Facebook, but please keep it there. In practice, it corrodes not only the economy but the human spirit itself, and the ambition and achievement that made modern capitalism possible and brought billions of people out of poverty. Talking about Socialism is a huge luxury, a luxury that was paid for by the successes of capitalism.”, Garry Kasparov sur Facebook, repris sur son blog le 17 mars 2016, [lire en ligne]
- ↑ Dans national-socialisme, il y a socialisme
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