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Thymologie

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Le terme de thymologie fut utilisé par Ludwig von Mises afin de différencier la psychologie de la praxéologie. Ceci permet aujourd'hui de retravailler le concept d'intelligence thymologique, en référence à l'intelligence émotionnelle et à la neuroéconomie pour spécifier le rôle des émotions par rapport à la raison dans les rapports sociaux d'un individu[1]. Grâce aux travaux pionniers de Don Lavoie, sur l'entrepreneur, sur les nouveaux outils informatiques de communication, sur l'épistémique, sur l'apprentissage hypertextuel et sur l'herméneutique, il est possible aujourd'hui de construire une nouvelle théorie de l'entrepreneur thymo-linguistique.

Différence entre thymologie et praxéologie

La thymologie, à ne pas confondre avec l'étymologie (la science de l'origine des mots), est un terme inventé par Ludwig von Mises pour préciser le sens de la psychologie concernée par l'esprit des hommes dans l'action humaine. La thymologie est la science de la motivation humaine, qui est liée à l'axiologie, c'est-à-dire la science des valeurs ou des évaluations. Ce sont les évaluations des individus qui leur permettent effectivement de les motiver à accomplir certains actes.

C'est en élaborant sa recherche sur l'épistémologie économique, que Ludwig von Mises vient à s'opposer à la toute-puissance de l'empirisme [2] prônée au XIXe siècle par des auteurs comme John Stuart Mill et John Elliott Cairnes qui se situaient dans « le cadre du psychologisme logique qui était la dominante de leur temps »[3]. Or, un mauvais fondement psychologique de l'évaluation des biens (théorie objective de la valeur) mène à des résultats opposés à « une doctrine plus parfaite des lois de l'esprit »[4].

Selon Percy L. Greaves, ancien étudiant de Ludwig von Mises, il existe deux significations principales à la dénomination de la psychologie : la psychologie physiologique qui est une branche des sciences de la nature, et la psychologie qui traite de l'action humaine. Or, la praxéologie, c'est-à-dire la science de l'action humaine n'est pas concernée au premier chef par ce niveau psychologique, dénommé quelquefois psychologie expérimentale ou psychologie naturelle. Toutes les fois où Ludwig von Mises fait référence à la psychologie dans ses études économiques, il garde à l'esprit ce que certains appellent « la psychologie littéraire » et qu'il a appelé Thymologie[5] dans ses ouvrages L'action Humaine, Problèmes épistémologique[6], Théorie et Histoire" ou "Fondement ultime de la science économique".

La thymologie est donc cette partie de la psychologie qui émane d'un côté de l'introspection, et de l'autre qui repose sur un fait de l'expérience historique. Ludwig von Mises nous enseigne que dans l'expérimentation, il est impossible d'observer et d'isoler les facteurs particuliers d'une transformation, et encore moins de déterminer des constantes d'ordre numérique[7]. La recherche de telles relations n'a rien à voir avec l'attitude psychologique que l'on attribue à l'école autrichienne. Au contraire, cette erreur méthodologique est redevable de l'utilisation des outils et des résultats de la psychologie expérimentale. La psychologie ne peut pas établir de lois empiriques de l'action[8].

La thymologie, de son côté, découle de l'apprentissage du commun des mortels lorsqu'il entre en contact avec ses semblables. C'est le capital cognitif de l'Homme sur la manière dont les individus évaluent différentes conditions, sur leurs souhaits, sur leurs désirs et sur leurs plans afin de réaliser ces souhaits et ces désirs. La thymologie "c'est la connaissance de l'environnement social dans lequel un homme vit et agit". Elle est indissociable de la praxéologie. La psychologie, comme l'économie, commence avec l'individu. Elle est cependant séparée d'elle car l'économie commence au point où la thymologie s'arrête. D'un côté, il y a des idées, des jugements de valeur et des volontés, et de l'autre côté il y a des actions humaines. Les premiers déterminant les secondes[9].

La thymologie représente la connaissance des idées humaines, des émotions, des volitions, des motivations et des jugements de valeur qui sont tous d'indispensables facultés pour chacun d'entre nous. C'est la compréhension du passé qui donne aux Hommes un aperçu de l'esprit des autres Hommes. Elle concerne l'intérieur invisible et immatériel des événements de l'esprit, et elle détermine les échelles de valeur de l'homme, ce qui entraîne ou peut se traduire en action.

La thymologie explore donc la connaissance, l'expérience et les valeurs qu'une personne acquiert tout au long de sa vie. Comme le présente Michael Polanyi, certaines de ces connaissances sont tacites, comme la façon de faire du vélo, de savoir jouer harmonieusement un air de piano ou de savoir cuisiner sans recette. À partir de ses expériences personnelles, chacun d'entre nous développe un certain « savoir-faire » difficile à expliquer verbalement. D'autres connaissances sont explicites : par exemple, comment s'habiller, comment utiliser un ordinateur, naviguer sur les flots ou se déplacer depuis votre maison jusqu'à votre travail. La connaissance est spécifique à un temps et à un lieu. Comme Ludwig von Mises l'a défini, la thymologie s'intéresse également aux raisons pour lesquelles nous décidons de limiter notre vitesse sur la route, de chanter le samedi soir ou d'aller à l'école durant la semaine.

Quelles sont les limites des frontières entre la praxéologie et la thymologie dans les sciences de l'action ?

En répondant à un article de Steven Horwitz[10], Jakub Bożydar Wiśniewski[11] a établi un diagramme fortement pédagogique pour comprendre les frontières entre la praxéologie et la thymologie dans les sciences de l'action. Il nomme, fort à propos, son article, « The Tangled Issue of Praxeology and Thymology » : Le problème enchevêtré de la praxéologie et de la thymologie.

Diagram sciences human action.PNG

Comme l'écrit Matthew McCaffrey[12], sur le site du Ludwig von Mises Institute, la construction de cette représentation s'est effectuée grâce aux apports de Ludwig von Mises et de Murray Rothbard, respectivement par « The Ultimate Foundation of Economic Science (1962) » et par « Praxeology: Reply to Mr. Schuller (1951) ».

Une représentation graphique est toujours un bienfait pour l'apprentissage et la clarté des concepts utilisés. Toutefois, il existe sans doute des perfections à apporter pour une meilleure compréhension du problème.

Le graphique utilise un diagramme de Venn, ce qui est un atout pour comprendre les parties d'un ensemble et leurs intersections. Si on regarde les couleurs du diagramme, on s'aperçoit que la couleur verte comprise tout à l'intérieur des sciences de l'action ne comprend ni la praxéologie ni la thymologie. Or, existe-t-il, à l'état présent ou potentiellement, une science de l'action qui ne soit ni praxéologique ni thymologique. depuis 1951 et 1962, y-a-t-il eu l'émergence d'une nouvelle science de l'action ? La théorie des systèmes adaptatifs complexes en fait-elle partie ? Où se situe-t-elle ? Existe-t-il une place pour l'émergence d'une future science de l'action ? Dans quel sous-ensemble serait-elle ?

Comme le signale justement Jakub Bożydar Wiśniewski dans son article, le problème de séparation entre la praxéologie et la thymologie est un problème entremêlé, ce qui ne signifie pas que les deux principales parties des sciences de l'action le soient elles-mêmes. Comme l'indiquait Ludwig von Mises, la thymologie s'arrête là où la praxéologie commence. Toutefois, cette présentation cloisonnée et statique des sciences de l'action ne nous permet pas de comprendre les inter-relations dynamiques entre les deux branches et donc ne reflète pas la complexité de leur séparation. Par exemple, l'analyse économique des institutions (propriété privée, système des prix etc.) encourage des recherches dans les sciences thymologiques comme en histoire économique, en enquêtes ethnographiques, en analyses des discours narratifs, en esprit d'entreprise, etc. Inversement, dans le domaine de la recherche en marketing, tout travail d'étude exige une connaissance d'une structure praxéologique complète et complexe qui soit élaborée par avance, préalable aux études de marché et aux études marketing. Les théories doivent guider la recherche appliquée, et la recherche appliquée doit créer des incitations pour des raffinements théoriques. Afin de développer des échanges économiques, dans le monde réel, l'être humain doit faire preuve d'intelligence contextuelle. Il doit à la fois s'appuyer sur des propriétés universelles de l'action humaine (praxéologie), et sur la nécessaire compréhension spécifique de l'information contextuelle (thymologie).

L'intelligence thymologique

Cette intelligence thymologique est utilisée par l'être humain dans la communication pour la compréhension des autres personnes, en reconnaissant leurs vertus et leurs talents, ce qui les motive et comment les faire collaborer entre eux et avec soi. L'intelligence thymologique est une alliée du leadership appréciatif. Il s'agit de la capacité à remarquer et à faire des distinctions avec les autres et de les amener à coopérer les uns avec les autres. Les leaders, en général, et plus particulièrement , les dirigeants, les commerciaux et les enseignants ont besoin à un haut degré de cette intelligence.

L'erreur en psychologie serait d'opposer émotion et raison. Au contraire, toute la partie de l'intelligence humaine, dont l'intelligence thymologique, consiste à utiliser les émotions sous la gouverne de la raison. L'intelligence thymologique est indispensable à l'individu de la rue car cela lui permet de s'ouvrir aux autres, d'être capable d'éprouver de l'empathie, de percevoir les réactions émotionnelles chez les autres, de ressentir de la confiance en soi voire d'emmagasiner de l'audace pour prendre des risques calculés.

Alors que la structure de notre intelligence rationnelle est présente dès notre naissance, l'être humain doit apprendre et acquérir les outils thymologiques lors de la majeure partie de sa vie. L'explosion des médias dans les sociétés, dites modernes, facilite l'aide des gens pour comprendre comment fonctionne son propre esprit et imaginer ce que les autres sont en train de penser. Les livres ou les magazines grands publics utilisent souvent les jeux psychologiques comme outils pédagogiques avec une méthode de processus de découverte facile et amusante.

Alors que nous faisons quotidiennement notre apprentissage de nos capacités mentales, nous apprenons aussi à tenir compte des exigences de notre environnement, à visualiser notre socialisation et à découvrir les effets différenciés de l'accueil de nos actions par les autres. Le rôle des parents, et de la famille au sens large, des tuteurs ou des éducateurs sont les premiers fournisseurs de feed-back de marqueurs thymologiques. Pour beaucoup d'entre nous, l'apprentissage de nos expériences (heureuses ou malheureuses) avec ces premières personnes nous aide à nous comporter et à comprendre la qualité de nos relations avec autrui puis d'adapter le comportement thymologique voulu dans le futur. Peu à peu, cet apprentissage thymologique fait que nous devenons raisonnable et sociable, c'est à dire que nous utilisons notre raison en fonction de nos émotions rencontrées en adéquation avec la normativité sociale. La raison offre cette capacité de gérer et de contrôler nos propres émotions en fonction de notre environnement. Ceci implique de connaître son propre fonctionnement thymologique ainsi que celui des autres. L'intelligence rationnelle donne la capacité de maîtriser ses émotions, de comprendre les tenants et les aboutissants des situations rencontrées et d'anticiper les issues pour l'ensemble des acteurs en considération.

Le danger de l'intelligence thymologique serait de faire oublier que nous avons des émotions. Et, chaque fois que nous nous sentirions gagner par un trait thymologique, nous le réprimerions au sens où il nuirait à notre raison. Au contraire, l'intelligence thymologique consiste à ne pas nous cacher nos émotions mais de tenir compte, par la raison, du "savoir-faire" de nos choix. Ceci se traduit par laisser apparaître ou non nos émotions ou de nous laisser guider par nos intuitions. L'intelligence thymologique permet de définir des zones critiques personnelles dans lesquelles des limites ne doivent pas être franchies à des moments particuliers[13].

L'entrepreneur thymo-linguistique

En entreprise, l'intelligence thymologique constitue une ressource essentielle pour les individus disposant de capacités de leadership surtout lorsqu'ils sont investis d'une fonction d'encadrement ou d'un pouvoir officiel. L'intelligence thymologique favorise la capacité à travailler en équipe, à écouter autrui et à faire évoluer ses collaborateurs dans la direction voulue. Ces personnes là constituent d'excellents entrepreneurs ou des intrapreneurs.

En reprenant les travaux de Ludwig von Mises, Don Lavoie avait essayé de construire une théorie de l'entrepreneur, qu'il n'a pas pu terminer, en raison de sa maladie. Cette théorie, ayant beaucoup d'analogie avec la théorie discursive de l'institutionnalisation, allie l'approche de la thymologie et de l'entrepreneur misésien avec les disciplines de la communication, du discours, de la linguistique, de la sémantique... Cette théorie de l'entrepreneur qui aurait pu s’appeler la théorie de l'entrepreneur thymo-linguistique (en référence à l'analyse psycho-linguistique utilisée par les informaticiens sémantiques dans l'analyse du langage naturel).

En effet, le marché, vu comme une métaphore, est considéré comme un gigantesque texte où gisent des opportunités commerciales. L'intelligence thymologique de l'entrepreneur lui permet, donc, de détecter des indices à partir de sa grille de lecture et des outils d'interprétation (herméneutique entrepreneuriale du marché) et d'en tirer profit. L'entrepreneur thymo-linguistique est sensible à la signification des mots, à leur ordre, aux sons (la prosodie), aux rythmes et aux inflexions (mots clefs discursifs cohésifs (Toutefois, néanmoins, cependant etc.) ou non (Ah ! Bien ! etc.).

L'entrepreneur thymo-linguistique a la capacité de convaincre les autres d'un plan d'action et de communiquer ses idées de façon significative et efficace. Sa narration entrepreneuriale facilite les échanges verbaux qui conduisent à la découverte de nouvelles et de meilleures méthodes de créer de la valeur. Ces échanges verbaux s'effectuent à la fois oralement et à l'écrit avec les journaux, les magazines, les publications scientifiques, les plaquettes commerciales, les informations diffusées à la radio, à la télévision ou sur le web, les livres, les conférences, les appels téléphoniques, les e-mails, les journaux Web (blogs), les réseaux sociaux, les conversations avec les clients et les fournisseurs, les rapports des agences de notation, les annuaires téléphoniques, la publicité des clients et des fournisseurs, et ainsi de suite. Lorsque ces échanges verbaux sont entravés, l'entrepreneur thymo-linguistique soulève les tabous cachés, détruit les procédures tatillonnes ou soulage le poids de la hiérarchie administrative autoritaire pour que le partage des connaissances et la confiance créatrice des individus ne soient pas étouffés dans l'organisation.

L'entrepreneur thymo-linguistique est un curieux épistémique, c'est à dire qu'il dispose d'une forte motivation pour combler les lacunes de sa connaissance. Il ressemble à l'entrepreneur kirznérien en phase d'alerte et de vigilance sur de nouvelles opportunités. Il utilise donc le langage pour apprendre et pour enseigner, pour retirer des informations différentes ou plus profondes sur des déclarations ou sur les œuvres des autres personnes. Il obtient des informations utiles par le questionnement ou la discussion subtile et sagace. Ces capacités sont essentielles à l'efficacité de celui qui parle, qui écrit, qui apprend ou qui relève des défis, tels que les étudiants, les enseignants, les dirigeants, l'analyste en stratégie marketing, les conférenciers, les auteurs, les vendeurs, les avocats et tous les autres entrepreneurs dans une plus ou moins grande mesure.

Annexes

Notes et références

  1. Il faut, toutefois, rester prudent dans cette démarche. Un défaut méthodologique peut conduire rapidement à des travers de manipulation, à l'exemple de la programmation neuro-linguistique, qui bien qu'ayant des intérêts sur certains points, mais dont l'absence de rigueur scientifique attire quelques charlatans apprenti-psychothérapeutes pour vendre leurs méthodes de PNL prêtes à l'emploi et onéreuses auprès d'un large public (de particuliers ou d'entreprises) trop naïf
  2. Ludwig von Mises, 1960, Epistemological Problems of Economics, Préface
  3. Ludwig von Mises, 1960, Epistemological Problems of Economics, préface,
  4. Ludwig von Mises, 1960, Epistemological Problems of Economics, préface,
  5. Le terme thymologie est dérivé du grec Θυμός, dont Homère et d'autres auteurs font référence comme étant le siège des émotions et de la faculté mentale du corps vivant véhiculant la pensée, la volonté et les sentiments.
  6. 1933 : Grundeproblem der Nationalökonomie, Jena: Verlag von Gustav Fischer
      • Traduction en anglais en 1960, par George Reisman, Epistemological Problems of Economics, Princeton, NJ: D. Van Nostrand
      • Nouvelle édition en 1976, New York, New York University Press
      • Nouvelle édition en 1981, New York, New York University Press
      • chapître "On the Development of the Subjective theory of Value" repris en 1996, In: Bettina Bien Greaves, dir., Austrian Economics: An Anthology, Irvington, New York: Foundation for Economic Education, pp119-136
      • Traduit en français Les Problèmes fondamentaux de l'économie politique, [lire en ligne]
  7. Le devenir historique n'est que le « résultat du concours d'une masse infinie de causes particulières qu'il nous est impossible de distinguer selon la portée qui revient à chacune d'elle. Nulle part nous n'y rencontrons de relations constantes numériquement déterminables. L'idée longtemps soutenue selon laquelle la relation entre la quantité de monnaie et les prix peut s'exprimer par un rapport de proportionnalité directe s'est révélée être erronée ; du même coup, l'unique argument à l'appui des théories quantitatives de l'action humaine s'est écroulé. Quiconque prétend tirer de l'expérience des lois du comportement humain devrait arriver à établir en quoi des situations données agissent qualitativement et quantitativement sur l'action. » Ludwig von Mises, EP
  8. [La psychologie] peut établir de quelle façon se sont comportés des hommes donnés dans des situations données du passé ; et elle en déduit que les choses se passeraient également de façon analogue dans l'avenir, si des hommes analogues se trouvaient dans des situations analogues. Ludwig von Mises EP
  9. La psychologie, en se tournant du côté de l'individu, a trouvé le bon point de départ. Toutefois, le chemin conduit nécessairement dans une autre direction que celui de la science de l'action humaine. L'objet de ce dernier, est l'action et ce qui résulte de l'action, alors que l'objet de la psychologie est représenté par les événements psychiques qui se traduisent en action. L'économie commence au moment où la psychologie s'arrête. Ludwig von Mises, EP, p3
  10. « The Empirics of Austrian Economics », article écrit par [Steven Horwitz], sur le blog du Cato-unbound, publié le 5 septembre 2012
  11. * "The Tangled Issue of Praxeology and Thymology", article écrit par Jakub Bożydar Wiśniewski, sur son blog, jakubw.com, publié le 12 septembre 2012
  12. "Is Strategy a Branch of Praxeology?", article écrit par Matthew McCaffrey, sur le blog du Mises Wire, publié le 24 janvier 2014
  13. (explosion de colère en public au lieu d'un défoulement sur un objet, faire des gaffes en rendez-vous professionnel au lieu de raconter des bêtises avec ses amis, etc)

Bibliographie

Liens externes

Textes

Liens audios



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