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Culture
La culture peut être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle façonne la manière de voir les choses pour chaque individu dans son expérience de la vie quotidienne.
La définition de la culture
La culture peut être définie comme un ensemble de significations historiquement transmises, partagées par un groupe de personnes et apprises par les nouveaux membres lorsqu'ils intègrent ce groupe. Contrairement à un outil ou une ressource (comme un bien capital), la culture est l'environnement au sein duquel les individus agissent et expérimentent le monde qui les entoure. Elle représente la lentille à travers laquelle les individus interprètent la réalité.
La culture n'est pas seulement un concept abstrait ; elle exerce une influence profonde sur la pensée, les actions et interactions des individus. Elle façonne leurs perspectives, leurs valeurs et leurs comportements, créant ainsi une dimension fondamentale de l'identité individuelle et collective.
La culture englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. Ce réservoir commun évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de communiquer. Un ensemble lié de manières de penser, de sentir et d'agir plus ou moins formalisées qui, étant apprises et partagées par une pluralité de personnes, servent, d'une manière à la fois objective et symbolique, à les rassembler en une collectivité particulière et distincte.
La culture est une affaire de la société civile et du ressort des agences locales, à l'échelon des municipalités afin que l'art soit encouragé à se développer et d'éviter toute centralisation ou tout art officiel, indépendant du pouvoir et de la bureaucratie (pas de ministère de la culture).
La culture est un secteur peu justifié économiquement et ses différentes manifestations pourraient être prises en charge sur une base volontaire, soit par le marché, soit par le milieu associatif, soit disparaîtraient d'elles-mêmes (faisant ainsi la preuve de leur inutilité).
Institutions culturelles
Municipalité
Au niveau des municipalités, le budget prévoit un poste pour la culture. Cet argent est dépensé par des agences chargées des activités culturelles qui soutiennent des artistes et des projets très divers, allant des festivals, au patrimoine, en passant par l’art. La culture est financée par d'autres agences publiques qui travaillent pour les municipalités : les Offices pour la Préservation Historique s'occupent du patrimoine, les Conseils des ressources humaines aident les chercheurs et les écrivains, les Services des librairies subventionnent les bibliothèques qui sont aussi des lieux de conservation et d'exposition.
Les municipalités interviennent essentiellement pour le cinéma, les festivals, les musées et les bibliothèques. Les communautés de quartier prennent des initiatives en matière artistique et éducative. La politique des arts de quartiers consiste à les revitaliser par la culture. La culture est généralement le fait d'institutions « privées » (avec des fonds ne provenant pas de budget public et qui ne sont pas dirigées par des fonctionnaires) mais ayant un statut d'organisation à but non lucratif et des missions d'intérêt général.
Les institutions culturelles (musées, théâtres, bibliothèques...) échappent aux contraintes du marché. Les communautés sont des lieux privilégiés de création des cultures indépendantes ; elles s'organisent dans les corporations pour le développement communautaire qui reçoivent des aides, notamment des fondations, et bénéficient d'exonérations fiscales.
Les lobbies culturels et syndicats défendent les intérêts des artistes et font pression, comme par exemple l'Association de la défense des acteurs qui protège les droits des comédiens. La société civile contribue à la culture par la philanthropie qui, elle-même, finance une partie de la culture.
Dans le domaine des arts, le bénévolat contribue au fonctionnement de nombreuses institutions culturelles : des personnes travaillent gratuitement pour les musées et les expositions. Les bénévoles assurent la promotion de l'institution culturelle dans la ville, s'occupent des guichets, guident les visiteurs dans les musées, etc.
Les institutions culturelles reçoivent des aides du Fonds national pour les Arts, collectent des fonds privés (collecte de fonds et recours à la philanthropie) et le mécénat d'entreprise, font du lobbying. Dans certains cas, les municipalités lèvent des taxes locales servant aussi à financer la culture dans les municipalités. Les autres recettes proviennent des ventes liées au tourisme, gérées par les municipalités. La culture est encouragée au niveau local par des exonérations d'impôts (pour les dons d'œuvres d'art ou pour les dons en argent). Les biens culturels sont exonérés de TVA : les institutions culturelles reçoivent des subventions directes des municipalités.
Associations et fondations
Les associations à but non lucratif, le secteur non marchand et les dons sont exonérés d'impôts et vont à la culture. Les associations à but non lucratif et les fondations sont financées par le mécénat d'entreprise et la collecte de fonds. Les musées et galeries d'art reçoivent des donations d'œuvres exonérées de droits de succession. En retour, les institutions culturelles octroient des privilèges aux donateurs (dîners de gala, places, visites guidées, nom du donateur sur une plaque ou attribué à une galerie, etc.).
Bibliothèques
Les bibliothèques municipales publiques, les écoles et les annexes de quartier ont un accès non payant et sont gérées par les municipalités. Le patrimoine historique est protégé, destiné à inventorier les lieux intéressants, classés selon trois niveaux : 1. Inscription simple au Registre national de places historiques qui interdit la destruction de l'édifice et offre des subventions locales pour l'entretien du bâtiment 2. Le patrimoine reconnu d'importance nationale est aussi inscrit au même Registre et bénéficie de subventions 3. Le Point de repère historique national concerne des édifices importants comme les musées, les résidences, etc.
La restauration des édifices historiques est décidée à l'échelon des municipalités par l’Office pour la préservation historique. La préservation du patrimoine a également lieu dans le cadre des municipalités, soumise à une réglementation draconienne.
La priorité est donnée à l'éducation artistique dans l’enseignement primaire, mais également dans les lycées et les universités (bibliothèques, théâtre, musique, danse, musées, salles de concerts, radios universitaires libres, maisons d'édition à but non lucratif,...).
Festivals
Les festivals de plein air, sur les places des villes ou dans les parcs, sont gratuits comme les projections de films, pièces de théâtre, concerts.
Le Fonds national pour les arts est une agence culturelle des municipalités chargée d'aider les artistes et les institutions culturelles et comme agence indépendante de l'État. La culture est l'affaire des autorités locales et de la société civile ; elle est indépendante du pouvoir et de la bureaucratie pour assurer la liberté des artistes. C'est une institution subventionnée par des fonds publics, indépendante de l'État. Le Fonds national pour les arts fonctionne comme une organisation à but non lucratif et repose sur la philanthropie. Ses divers programmes permettent de distribuer des subventions, des bourses aux artistes, des aides aux agences culturelles locales. Le Programme National des musées soutient les musées, le Programme national des arts promeut l'artisanat, le Programme scolaire artistique développe l'art à l'école.
Le Département des Affaires culturelles municipales est une agence de la ville qui soutient la création artistique sous toutes ses formes et subventionne des peintres, des musiciens, des comédiens, etc. Elle distribue des aides à des associations culturelles non lucratives.
Les centres-villes développent une politique visant à attirer les artistes et les institutions culturelles. Les municipalités proposent des avantages fiscaux pour les entreprises, rénovation des immeubles, sécurisation, implantation d'institutions culturelles et d'artistes, accordent des subventions.
Les municipalités créent une coopération avec des institutions privées pour diversifier les fonctions du centre-ville, revaloriser le patrimoine et créer des espaces publics. Il s'agit de développer les lieux dédiés au divertissement et à la culture, de former un art de quartier, d'attirer la population et les touristes.
L’Agence nationales des arts est une organisation à but non lucratif dont l'objectif est de promouvoir les arts et les intérêts des artistes. Sa mission est d'offrir à chacun la possibilité de participer et d'accéder à toutes les formes d'arts.
Chaque année, l'organisation décerne des distinctions destinées à honorer des artistes et des mécènes. Elle tente d'agir sur les problèmes tels que la commercialisation de la culture, le manque de financement des musées, théâtres, ballets, etc. Ses actions sont diverses : lobbying, campagnes publicitaires, appel aux dons et à la philanthropie...
Musée
Les œuvres d’art sont fournies par les fondateurs, des dons et des legs de grands collectionneurs, ainsi que les diverses politiques d’acquisition. Les musées ne perçoivent pas d’aide de l’État, les villes prennent en charge les dépenses de fonctionnement de l’établissement (chauffage, éclairage, sécurité…). Tout visiteur peut entrer au musée en ne versant que quelques pièces ou gratuitement.
Les recettes du musée proviennent du secteur privé dont une partie est versée par des fondations. Les membres de clubs de bienfaiteurs disposent de privilèges en échange de leur cotisation. Des réceptions sont organisées par le musée, la vente de produits dérivés (répliques d’œuvres, bijoux, cartes postales, tee-shirts) dans la boutique du musée ou par correspondance ou des expositions temporaires chaque année apportent des revenus supplémentaires.
Le musée propose également des voyages organisés thématiques et locations des salles pour des réceptions. La politique d’acquisitions est axée sur l’achat d’œuvres de renommée mondiale, grâce à la vente de pièces moins prestigieuse de ses collections. Les musées vendent des objets en double ou mineur pour financer l’acquisition de nouvelles pièces.
Les collections permanentes sont exposées et gérées par les départements indépendants, chacun d’entre eux comprenant une équipe de conservateurs spécialisés, de restaurateurs et de chercheurs.
Les musées diversifient leurs sources de revenus comme celles des autres associations à but non lucratif : entrées des visiteurs, fonds privés (collecte de fonds et recours à la philanthropie), mécénat d'entreprise et dons, mais aussi fonds publics. Si les expositions temporaires sont payantes, l'accès aux collections permanentes est gratuit. Les musées reçoivent des donations et louent leurs œuvres à l'étranger ainsi que la création de grandes expositions, de librairies, de restaurants et de cafés.
Bibliothèques
Les bibliothèques publiques proposent des recherches sans prêt, bibliothèque de prêt principales, bibliothèque pour les aveugles et personnes handicapées et bibliothèques locales dans les quartiers desservis. Tous ces accès sont gratuits. Il existe un partenariat entre les municipalités et les philanthropes.
Le bâtiment est concentré sur la consultation sur place, l'activité de prêt étant transférée dans un autre bâtiment. Des succursales mettent à la disposition du public des ouvrages et du matériel de recherche avec des bibliothèques spécialisées par domaine.
Un Point national de repère historique est un lieu officiellement considéré comme ayant un intérêt historique de portée nationale. Des aides publiques peuvent être accompagnées de diverses obligations de mise en valeur, et les autorités locales peuvent également prendre des mesures pour leurs préservations.
Le Registre national des sites historiques est la liste officielle des quartiers, lieux, bâtiments, structures et objets méritant d'être préservés. Il est géré par le Service national des parcs qui lui même dépend de l’État dont le but est d'aider les propriétaires et les associations, telles que l’Agence nationale pour la conservation historique, à coordonner, identifier et protéger les sites historiques. Elle permet néanmoins d'accorder des subventions aux propriétaires des lieux qui la composent, l'inscription permet fréquemment l'application de lois municipales.
Culture scolaire
La culture est associée à l'établissement scolaire où les élèves et les étudiants participent aux programmes culturels gérés par les écoles et les universités comme une source de revenu. Les étudiants artistes reçoivent des bourses d'études à l’université en reconnaissance de leur potentiel artistique. Les organismes culturels opèrent des projets une fois par an dans les écoles et les universités, toutes disciplines culturelles confondues. Ils opèrent des systèmes de concours scolaires pour les étudiants artistes qui ont fini leurs études. Les écoles et les universités peuvent prolonger les contrats pour les professeurs (théâtre, musique,…). Un concours scolaire a pour objectif de permettre aux étudiants artistes, aux professeurs, de se mettre en valeur aux yeux des nombreux organismes culturels qui peuvent faire appel à des étudiants artistes. C'est entièrement le choix du conseil d'administration de la culture scolaire composé de plusieurs divisions pour les garçons et les filles, basées sur l'âge (la pratique de la culture est facultative). L’Association nationale de la culture scolaire est un organisme privé chargé d’organiser les programmes culturels dans les écoles et les universités, composée de volontaires individuels et collectifs (diverses institutions ou organisations). Les concours s'organisent en divisions autour de différentes disciplines culturelles. L’association est divisée dans des cabinets et des comités, composés de représentants divers de membres de ses écoles. Ceux-ci peuvent être divisés en sous-comités. La législation est ensuite transmise au Conseil d'administration, qui supervise tous les cabinets, les comités et comprend également des représentants des écoles, comme les directeurs de la culture et les conseillers pédagogiques. Le Conseil de gestion du projet de loi va au conseil d'administration, qui se compose des directeurs d’école pour l’approbation finale. Le Fonds National pour la Culture est une agence privée chargée d'aider les artistes et les fédérations culturelles comme agence indépendante de l'Etat, fonctionnant comme une organisation à but non lucratif et repose sur la philanthropie qui agit pour promouvoir la culture et les intérêts des artistes, d'offrir à chacun la possibilité de participer et d'accéder à toutes les formes de cultures. Les divers programmes permettent de distribuer des subventions, des bourses d’études aux artistes, des aides aux agences culturelles locales. Le Programme Nationale des Infrastructures Culturelles soutient les édifices culturels, l’Association Nationale de la Culture Scolaire développe la culture à l'école.
Plan Culture Emploi (PCE)
Le Plan Culture Emploi, est un projet avec l'objectif de professionnaliser les associations culturelles en améliorant l'encadrement des activités ainsi que leur fonctionnement et leur gestion. Le Plan Culture Emploi est un dispositif d'aide financière qui permet le recrutement d'éducateurs artistiques, d'agents d'animation, d'administration ou de maintenance dans les associations affiliés. L'aide consiste en un concours financier annuel dégressif sur 5 ans. Chaque direction locale de la culture joue ainsi un rôle de "guichet unique" et se charge de faciliter les démarches auprès des autres administrations.
Citations sur la culture
- La culture est une affaire exclusivement privée : la nationaliser pour en faire une annexe de l’État entraîne que des cuistres nous imposent leurs films, leurs pièces de théâtres, leurs prétendues œuvres d’art... Les personnes qui veulent se cultiver doivent pouvoir le faire dans une totale liberté et sans être ponctionnées au préalable par un ministère. Le fait que cela existe depuis longtemps en France et ailleurs n’est nullement une excuse ; cette généralisation montre seulement la force implacable avec laquelle les parasites étatiques ne cessent de progresser. (Michel de Poncins)
- Quand j'entends le mot culture, je sors mon carnet de chèques. (Jean-Luc Godard, Le Mépris, 1963)
- Le mot « protectionnisme » pose un léger problème ? Parlons solutions et « exception culturelle française ». (...) À partir du moment où il y a un ministère de la culture, la culture disparaît, exactement comme cela s’est passé en Union soviétique, et pour les mêmes raisons. (Charles Gave)
- Les intellectuels français n’aiment pas le libéralisme parce que, dans un régime libéral, ils seraient payés à leur vraie valeur. (Raymond Boudon)
- Une culture établie, protégée, subventionnée, constituée en église ou chapelle vivant aux dépens du public risque fort de n'être qu'une fausse culture.(...) La vraie culture, le vrai sport, l'art véritable comme la vraie religion, est plus réellement démocratique. Elle est plus réellement et plus spontanément demandée. Elle ne va pas de haut en bas, jusqu'au peuple, à partir de mystérieux arcanes habités par des grands prêtres. (Raymond Ruyer, Éloge de la société de consommation, 1970)
- Quand j'entends parler de culture... je relâche la sécurité de mon Browning ! (Hanns Johst, Schlageter, 1933) [cette citation est fréquemment déformée en Quand j'entends parler de culture, je sors mon révolver]
- Ce qu'on nomme culture consiste, pour une partie des intellectuels, à persécuter l'autre partie. Dans les sociétés totalitaires, cette persécution est institutionnalisée, elle fait corps avec l'État. (Jean-François Revel, Mémoires)
- Finalement, ce qui est soutenu sous les auspices d’un « ministre de la culture » encourage surtout la dépendance de la culture à l’Etat, et moins la culture en elle-même. Une culture dégradée en « service public » s’abaisse finalement au niveau du politiquement correct. L’idée d’une identité culturelle facilitée par l’Etat contredit non seulement tous les principes de la subsidiarité du pouvoir. Elle s’inscrit également à l’encontre de la raison d’être de la culture, par essence un processus de communication et d’échange libres. (Pierre Bessard, L'AGEFI, 03/06/2015)
- Comme le déclarait Maurice Druon quand il était ministre de la Culture, l'artiste est bien souvent en train de brandir, devant les palais nationaux, d'une main la sébile, de l'autre un cocktail Molotov. (Jean-Marc Daniel, 2011)
- Chaque spectateur d'opéra couvre un tiers du coût réel de sa place, mais compte tenu du prix affiché, ce genre de spectacle reste réservé à la partie la plus aisée de la population, et donc, par le biais des subventions publiques en faveur de l'art lyrique, les pauvres subventionnent les riches... (Jean-Marc Daniel, 2011)
- Qu’est-ce donc que la culture ? Ce qui permet à l’homme de culture de n’écraser personne sous le poids de sa culture. (Michel Serres, Morales Espiègles, 2019)
- Quand on généralise la souffrance, on a le communisme. Quand on particularise la souffrance, on a la littérature. (Philip Roth)
Informations complémentaires
Notes et références
Bibliographie
- 1869, M. Arnold, "Culture and Anarchy",
- Nouvelle édition en 1960, Cambridge, Cambridge University Press
- 1973, Clifford Geertz, "The interpretation of cultures", Basic Books, New York
- 1974, Kenneth E. Boulding, "Toward the Development of Cultural Economics", Social Science Quarterly, pp267-284
- 1978, Clifford Geertz, "The bazaar economy: Information and search in peasant marketing", American Economic Review 68(2), 28–32.
- 1979,
- Clifford Geertz, Meaning and Order in Moroccan Society, Cambridge University Press, chapître sur : The Bazaar Economy in Sefrou
- Laurence S. Moss, "Film and the Transmission of Economic Knowledge: A Report", Journal of Economic Literature, vol. 17, n°3, setembre, pp1005-1019
- Repris en 2010, American Journal of Economics and Sociology, Vol 69, n°1, January, pp290–320
- 1980, J. H. Gapinski, "The Production of Culture", Review of Economics and StatiStics, Vol 62, pp578—586
- 1988, Robert K. Rauth Jr., "The Myth of Cultural Imperialism", The Freeman, November, Vol 38, n°11, pp448-453 [lire en ligne] (L'auteur déclare qu'il n'est pas surprenant que les sociétés les plus ouvertes de la planète aient la culture populaire la plus attrayante).
- 1991,
- C. M. Fiol, ‘Managing culture as a competitive resource: an identity-based view of sustainable competitive advantage’, Journal of Management, 17, pp191–211
- Wolfgang Grassl, "Culture", In: Nigel Ashford, Steve Davies, dir., "A Dictionary of Conservative and Libertarian Thought", New York: Routledge
- 1992, Scott Shane, Why do some societies invent more than others?, Journal of Business Venturing, Vol. 7 pp29 -
- 1993, Geert Hofstede, "Cultural Constraints in Management Theories", Academy of Management Executive, 7(2), pp81–94
- 2000,
- David Landes, "Culture Makes almost all the Difference", In: Lawrence E. Harrison, Samuel P. Huntington, dir., "Culture Matters: How Values Shape Human Progress", New York: Basic Books, pp2-13
- Lawrence E. Harrison, Samuel P. Huntington, dir., "Culture Matters: How Values Shape Human Progress", New York: Basic Books
- 2001,
- Geert Hofstede, "Culture's Consequences, Comparing Values, Behaviors, Institutions, and Organizations Across Nations", Thousand Oaks CA: Sage Publications
- Don Lavoie, Emily Chamlee-Wright, "Culture and Enterprise: The Development, Representation and Morality of Business", Florence, KY, USA: Routledge
- 2006, Pin-Quan Ng, "The Culture of Success: Cultural Foundations for Competitiveness in the Global Economy", working paper, Columbia University, December
- 2008, Kate Zhou, "Culture", In: Ronald Hamowy, dir., "The Encyclopedia of Libertarianism", Cato Institute - Sage Publications, pp109-110
- 2012, Greg Hundley, S. Duane Hansen, "Economic performance and the enterprise culture", Journal of Enterprising Culture, Vol 20, n°3, September, pp245–264
- 2015, Arielle John, "Culture as a constitution", In: Laura E. Grube, Virgil Henry Storr, dir., "Culture and Economic Action", Cheltenham, UK: Edward Elgar, pp225-242
- 2018, J. Dirmeyer, A. Cartwright, "The Role of Culture, Information, and Expectations in Police Self-Governance", In: Steven Horwitz, dir., "Austrian Economics: The Next Generation" (Advances in Austrian Economics, Vol 23), Emerald Publishing Limited, Bingley, pp113-129
Voir aussi
- Acteurs, BD, Cinéma, Musiciens, Romanciers, Humour, Art
- Romans libéraux
- BD libérales
- Films libéraux
- Célébrités libérales
- Musique d'inspiration libérale
- Shakespeare
- Western
- Sherlock Holmes
- École autrichienne et littérature
- Exception culturelle
- Sport
- Culture entrepreneuriale
- Contre-culture
Liens externes
- (fr)Les sophismes de la parabole des Tuileries sur Contrepoints
- (fr)La culture peut-elle vivre sans subventions ? (Gilles Guénette)
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