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Edith Efron
Edith Efron | |||||
journaliste | |||||
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Dates | 1922-2001 | ||||
Tendance | Objectiviste | ||||
Nationalité | États-Unis | ||||
Articles internes | Autres articles sur Edith Efron | ||||
Citation | |||||
Interwikis sur Edith Efron | |||||
Edith Efron (née en 1922 à New York - décédée le 20 avril 2001) était une journaliste américaine et auteure libérale[1]. Elle fut diplômée de l'École de journalisme de l'Université Columbia, où elle eut comme professeur, le journaliste libéral, John Chamberlain. Au cours de sa carrière, elle fut chercheuse associée au Centre de recherche en politiques et gestion gouvernementales de l'Université de Rochester.
Contexte et formation d'Edith Efron
- . Origines et éducation à New York. Edith Efron est née et a grandi à New York, une ville bouillonnante d'énergie intellectuelle et culturelle. Cette métropole cosmopolite a façonné ses premières perceptions du monde et a nourri sa curiosité intellectuelle. Son environnement familial et éducatif a sans aucun doute contribué à forger son caractère et à stimuler son désir de comprendre les complexités de la société.
- . Début de carrière dans le journalisme. Après avoir obtenu son diplôme de Barnard College en 1942, Edith Efron a rapidement emprunté une carrière dans le journalisme. Sa première incursion dans le domaine professionnel l'a amenée à travailler pour de petits journaux locaux, où elle a pu affûter ses compétences en écriture et développer un sens aigu de l'observation. Cette expérience précoce a jeté les bases de sa carrière future dans le journalisme et l'a préparée aux défis et aux exigences du métier.
- . Ascension dans le Monde du Journalisme. Par la suite, Edith Efron a eu l'opportunité de poursuivre ses études en journalisme à la Columbia Journalism School, l'une des écoles les plus renommées du pays dans ce domaine. Cette étape a été cruciale dans son parcours, lui offrant une formation académique solide et lui permettant d'approfondir sa compréhension des principes et des pratiques du journalisme. Sa maîtrise obtenue en 1944 lui a ouvert de nouvelles portes et lui a permis d'accéder à des postes prestigieux dans l'industrie médiatique.
- . Parcours d'une Journaliste de plus en plus Influente. La carrière d'Edith Efron a commencé en tant que journaliste pour le "New York Times Magazine". En 1947, elle épousa un homme d'affaires haïtien avec qui elle eut un enfant. Elle fut correspondante d'Amérique centrale pour le magazine Time-Life. Elle fut rédactrice en chef des rubriques spécialisées du magazine "Look" et rédactrice free lance pour plusieurs magazines d'envergure nationale aux Etats-Unis.
Engagement dans le journalisme critique
En 1972, elle fut experte media pour la "Public Broadcasting Radio".
- . Rôle chez TV Guide et exploration des sujets réglementaires. Le passage d'Edith Efron chez TV Guide a marqué le début d'une période où elle s'est engagée activement dans le journalisme critique. En tant que membre de l'équipe éditoriale de ce magazine largement lu, Efron a eu l'occasion d'explorer un large éventail de sujets, y compris ceux liés à la réglementation des médias. Sa capacité à traduire des sujets complexes en un langage accessible a fait d'elle une contributrice précieuse, aidant le public à comprendre les enjeux entourant la régulation des ondes et les implications de ces politiques sur la liberté d'expression et la diversité des opinions.
- . Découverte des techniques de propagande dans la couverture télévisée des élections de 1968. L'élection présidentielle de 1968 a été un moment charnière pour Edith Efron, où elle a été témoin de manière frappante des techniques de propagande utilisées dans la couverture médiatique. Son analyse minutieuse de la manière dont les différents réseaux télévisés ont traité les questions politiques a révélé des biais flagrants et des distorsions intentionnelles. Cette expérience a été déterminante dans la prise de conscience d'Efron des défis auxquels était confrontée la démocratie américaine en raison de la manipulation de l'information par les médias.
- . Recherche et publication de "The News Twisters". Son premier ouvrage publié en 1971, a été le fruit des recherches approfondies d'Edith Efron sur la partialité médiatique. Ce livre percutant a mis en lumière les techniques utilisées par les médias pour influencer l'opinion publique et favoriser certains agendas politiques. Grâce à une documentation rigoureuse et à une analyse perspicace, Efron a démontré de manière convaincante l'existence de préjugés idéologiques dans la couverture médiatique des événements d'actualité. "The News Twisters" a eu un impact considérable, suscitant un débat national sur l'objectivité des médias et incitant les institutions médiatiques à examiner de plus près leurs pratiques journalistiques.
- . Edith Efron : Voix de la Critique Médiatique dans TV Guide. Edith Efron écrivait une colonne régulière pour le magazine "TV Guide" dans une rubrique appelée «News Watch». Ce magazine Télé était largement diffusé aux USA dans les années 1960 et 1970 avec plus de 40 millions de lecteurs, où elle a écrit des portraits de célébrités, des colonnes politiques et des éditoriaux. Dans ses éditoriaux pour TV Guide, Edith Efron a critiqué ce qu'elle voyait comme un parti pris des médias de gauche contre les idées libérales. Elle a défendu les hommes politiques du parti républicain comme Barry Goldwater et Ronald Reagan. Avec d'autres chroniqueurs qui ont écrit dans TV Guide, comme Kevin Phillips et Pat Buchanan, elle a préconisé l'élimination de la Doctrine d'équité par la Federal Communications Commission, afin de permettre un meilleur accès aux ondes des points de vue libéraux (conservateurs).
En juillet 1977, Manual Kausner annonça[2] l'ajout d'Edith Efron dans l'équipe éditoriale du Reason Magazine. Elle fut une rédactrice active où son point de vue radical apparaissait tous les trois mois, en alternance avec ceux d'Alan Reynolds et de Tibor Machan.
Elle apporta sa grande expérience à son nouveau rôle, ayant été écrivaine professionnelle pendant plus de 30 ans. Son parcours comprenait des collaborations avec des publications de renom telles que Time, Life, Look et le New York Times. Ses écrits avaient également été publiés dans des revues telles que Barron's, Commentary, The Alternative, mettant en valeur son expertise et ses intérêts variés dans les questions politiques et économiques.
Réactions et contre-attaques des réseaux de télévision
- . NBC tente de discréditer Edith Efron en enregistrant ses conférences. Face à la montée en puissance des critiques d'Edith Efron à l'égard des médias télévisés, NBC a tenté de discréditer son travail en enregistrant secrètement ses conférences. Cette tactique sournoise visait à recueillir des preuves susceptibles de ternir la réputation d'Efron et de remettre en question la validité de ses arguments. Cependant, plutôt que d'affaiblir sa position, cette tentative de surveillance clandestine a renforcé la détermination d'Efron à poursuivre son combat pour la vérité et l'intégrité dans les médias.
- . CBS publie une réfutation erronée. Lorsque CBS a publié une réfutation erronée des travaux d'Edith Efron, celle-ci a répliqué avec vigueur en publiant son propre livre intitulé "How CBS Tried To Kill a Book". Dans cet ouvrage percutant, Efron expose les erreurs et les distorsions de la réfutation de CBS, démontrant ainsi la partialité et le manque d'intégrité des médias traditionnels. Cette contre-attaque déterminée a permis à Efron de défendre son travail et de réaffirmer la validité de ses conclusions devant un public plus large.
- . L'isolement professionnel d'Efron face aux attaques des réseaux de télévision. Malgré ses efforts pour défendre son travail et sa réputation, Edith Efron a fait face à un isolement professionnel découlant des attaques des réseaux de télévision. Aucun de ses collègues de l'industrie n'a publiquement pris sa défense, la laissant seule face à ses détracteurs. Cette situation difficile a mis à l'épreuve la résilience d'Efron et l'a forcée à puiser dans sa propre force intérieure pour persévérer dans sa lutte pour la transparence et l'équité dans les médias.
Évolution intellectuelle d'Edith Efron
- . Influence du travail avec Mike Wallace. Après son travail en Amérique centrale, Edith Efron est retourné à New York, om elle a travaillé dans l'équipe de Mike Wallace, journaliste à la télévision. Cette collaboration a été une étape décisive dans son évolution intellectuelle. Elle a été exposée à un large éventail de sujets et a pu observer de près le fonctionnement de l'industrie médiatique. Cette expérience pratique lui a permis de mieux comprendre les mécanismes de la communication de masse et les défis auxquels les journalistes sont confrontés dans leur quête de vérité et d'objectivité.
- . Rencontre avec Ayn Rand et changement politique. La rencontre d'Edith Efron avec Ayn Rand, une figure emblématique du mouvement libéral, a profondément influencé ses convictions politiques et philosophiques. À travers les idées de Rand, Efron a été exposée à une vision alternative du monde, axée sur les principes de liberté individuelle, de capitalisme et de rationalité. Cette rencontre a marqué un tournant dans sa vie intellectuelle, l'amenant à remettre en question ses croyances préalablement ancrées et à adopter un nouvel ensemble d'idéaux et de valeurs.
- . Implications de sa proximité avec le cercle d'Ayn Rand. La proximité d'Edith Efron avec le cercle d'Ayn Rand a eu des implications profondes sur son parcours intellectuel et professionnel. En tant que membre de ce cercle, elle a eu accès à un réseau d'intellectuels et de penseurs influents, ce qui lui a permis d'approfondir ses connaissances et d'explorer de nouveaux domaines d'intérêt. Elle contribua au magazine créé par Ayn Rand, "The Objectivist". Elle présenta une série de conférences sur l'écriture de non-fiction à l'Institut Nathaniel Branden dans les années 1960. Cependant, sa relation avec le cercle d'Ayn Rand n'a pas été sans heurts, et elle a finalement été "excommuniée" en 1968. Malgré cela, l'influence de Rand et de son cercle a perduré, façonnant ses perspectives et ses contributions ultérieures dans le domaine du journalisme et de la critique sociale.
- . Une Voix pour la Liberté Politique et Économique. Edith Efron s'engagea activement dans la diffusion des idées liées à la liberté politique et économique en collaborant avec l'ancien Secrétaire du Trésor, William E. Simon, à l'écriture de son livre intitulé "Un temps pour la vérité" (A Time For Truth). Ce livre, publié à une époque cruciale de l'histoire politique et économique, abordait de manière approfondie les principes fondamentaux de la liberté individuelle, de la gouvernance limitée et du libre marché. En tant que co-auteure, elle a apporté son expertise journalistique et sa clarté de pensée pour aider à articuler les arguments et les idées essentielles du livre. Sa contribution a permis de présenter de manière accessible et convaincante les concepts complexes liés à la liberté politique et économique, offrant ainsi aux lecteurs une perspective éclairée sur les enjeux cruciaux de leur époque. "Un temps pour la vérité" a eu un impact significatif en stimulant le débat intellectuel sur les questions de liberté et de gouvernance aux États-Unis et au-delà. En collaborant à cet ouvrage, Edith Efron a contribué à élargir la portée des idées libérales et à promouvoir une compréhension plus profonde des principes qui sous-tendent une société libre et prospère.
Perspectives sur le mouvement libéral, libertarien et conservateur
- . Appel à un élargissement des valeurs libérales au-delà du politique. Edith Efron a souligné l'importance de reconnaître que les principes de liberté individuelle, de responsabilité personnelle et de respect des droits fondamentaux s'étendent au-delà de la sphère politique pour englober tous les aspects de la vie sociale et culturelle. Pour Efron, être libéral ne se limite pas à soutenir des politiques économiques spécifiques, mais implique également un engagement en faveur de la diversité, de la tolérance et de la libre expression dans tous les domaines de la société.
- . Critique de l'association des libertariens rothbardiens avec des figures controversées comme Timothy Leary. Edith Efron a souligné que cette association risquait de compromettre la crédibilité du mouvement libertarien en le liant à des personnalités dont les actions et les idées étaient controversées voire radicales. Pour Efron, il était essentiel de maintenir une image de sérieux et de respectabilité pour le mouvement libertarien afin de gagner l'adhésion et le soutien d'un public plus large. Elle s'opposa à la volonté de Murray Rothbard, du parti libertarien et de certains membres du parti républicain pour leur tentative stratégique de créer un rapprochement avec des personnes fortement ancrées dans la philosophie de gauche, même si celles-ci sont opposées à la présence exagérée de l'Etat dans la vie des individus. Mais, de la même façon, elle prévenait de ne pas s'allier avec des personnes de Droite qui priverait tout individu de sa liberté d'expression, de sa liberté de religion, de sa liberté d'entreprise et qui seraient les partisans d'une haine et d'une discrimination sociale.
- "Si un libertarien représente tout ce qui concerne la propriété privée et le capitalisme. S'il sait quelque chose avec certitude, c'est que la liberté politique individuelle repose sur la liberté économique. Mais c'est ce que la Gauche est déterminée à détruire. Tout cela signifie : un libertarien ne peut jamais s'allier rationnellement avec la gauche.
- De la même façon, un libertarien ne peut pas s'allier avec quiconque de la droite qui a l'intention de détruire ses valeurs centrales. Les brûleurs de livres, les bigots religieux, les racistes, les fascistes sociaux, les ennemis du marché libre, tous doivent être répudiés. Le principe est identique"[3]
- . Déploration de la faiblesse de la défense intellectuelle du capitalisme par les conservateurs. En observant le paysage politique de son époque, Edith Efron a déploré la faiblesse de la défense intellectuelle du capitalisme par les conservateurs. Elle a critiqué le manque d'engagement des conservateurs dans la promotion d'une vision cohérente et convaincante du capitalisme en tant que système économique viable et juste. Pour Efron, il était essentiel que les défenseurs du capitalisme s'efforcent de présenter des arguments solides et bien fondés pour contrer les attaques des critiques et défendre les principes du libre marché et de l'entreprise privée.
La mentalité anti-capitaliste dans les medias
- . La pionnière du mouvement critique envers les médias télévisés. Edith Efron émerge comme une figure particulière dans le paysage médiatique des années 1970 en raison de son rôle crucial dans la critique des médias télévisés, notamment en ce qui concerne les biais idéologiques et la partialité politique. Son travail a contribué à ébranler les fondations de la confiance aveugle du public envers les réseaux de télévision, en mettant en lumière les distorsions et les manipulations dans la façon dont les événements étaient présentés.
- . La confrontation médiatique des chefs d'entreprise : Regards critiques. Dans une conférence tenue à l'université Pepperdine (Malibu, en Californie) pour un séminaire reliant le Business, l'éducation et les médias, Edith Efron prit à témoin son auditoire de la situation désastreuse à laquelle sont confrontés les chefs d'entreprises face aux médias. Les conseillers en communication enseignent à leurs clients (chefs d'entreprise) à rester cool face à une provocation scandaleuse, à faire face à une distorsion malveillante et à se délivrer d'une prise d'un journaliste hostile. Il y a sans doute, selon Edith Efron des motivations précises des journalistes à agir ainsi : une petite malveillance, un exhibitionnisme du scoop, un désir de renverser les puissants...
- . Le manque de vigilance des dirigeants d'entreprise face aux attaques médiatiques. Mais, il y a également un manque de vigilance de la part des dirigeants d'entreprise, de ces personnes brillantes qui gèrent des empires, de ces leaders à toute épreuve qui sont trop souvent terriblement naïfs sur le genre de motifs impliqués dans ces attaques mais surtout ces hommes de leadership sont trop fiers ou ils montrent un manque d'humilité et de connaissance des mécanismes qui structurent les organisations médiatiques anti-capitalistes où prennent formes ces attaques.
- . Les perspectives sur le Capitalisme, les médias et la liberté. Pour Edith Efron, il ne faut pas regarder les attaques contre le monde du business comme de simples hostilités de la part de journalistes "gauchistes" mais ces critiques du capitalisme sont ancrées profondément dans un cadre institutionnel médiatique. Une chasse aux "sorcières" n'est donc pas la solution puisque c'est le système médiatique qui s'est construit sur cette mentalité anti-capitaliste. Pour Edith Efron, nous avons d'un côté La liberté intellectuelle et politique et de l'autre côté le capitalisme. mais les deux sont inextricablement liés. Et si on détruit le capitalisme, on détruit inexorablement la liberté intellectuelle et politique.
- . L'impact des travaux d'Edith Efron sur la conscience publique des biais médiatiques. Les travaux d'Edith Efron ont eu un impact significatif sur la manière dont le public percevait les médias télévisés. En exposant les techniques utilisées pour influencer l'opinion publique et en soulignant les déséquilibres flagrants dans la couverture des événements politiques et sociaux, elle a contribué à éduquer le grand public sur la nécessité d'une analyse critique des médias. Son influence s'est étendue bien au-delà de son époque, jetant les bases pour un débat continu sur l'objectivité et l'intégrité dans le journalisme télévisé.
Informations complémentaires
Notes et références
- ↑ Elle était la fille de Rose et d'Alexander Efron, décédé le 30 décembre 1981, enseignant à l'université, président du département de physique de Stuyvesant High School à New York City et qui a écrit plusieurs livres dans ce domaine. Son frère Robert Efron, 6 ans de moins qu'elle, a fait une brillante carrière en tant que chercheur en biologie.
- ↑ Manual Kausner, 1977, "Publisher's Notes", Reason Magazine, Juillet
- ↑ Edith Efron, 1978, "Viewpoint. Warning to Constitutional Republicans", Reason, February, p37
Publications
- 1962,
- a. commentaire du livre de Lawrence Fertig, "Prosperity for freedom", The Objectivist Newsletter, Vol 1, n°3, March
- b. commentaire du livre de Ludwig von Mises, "The anti-capitalistic mentality", The Objectivist Newsletter, Vol 1, n°5, May
- c. commentaire du livre de Werner Keller, "East minus west - zero sum", The Objectivist Newsletter, Vol 1, n°11, November
- 1963,
- a. Commentaire du livre de Betty Friedan, "The feminine mystique", The Objectivist Newsletter, Vol 2, n°7, July
- b. "TV: The Timid Giant", TV Guide, 18 mai
- c. "Why the Timid Giant Treads Softly", TV Guide, 10 août
- 1964, commentaire du livre de Ralph de Toledano, "The greatest plot in history", The Objectivist Newsletter, Vol 3, n°5, May
- 1971, "The News Twisters", L. A.: Nash Publishing Co.
- 1972, "How CBS Tried to Kill a Book", L. A.: Nash Publishing Co.
- 1975,
- a. "The Free Mind & The Free Market", Reason, August, pp24-31 (conférence tenue à l'université Pepperdine pour le séminaire Business-Education-Media à Malibu, en Californie)
- b. "Conservatism: A Libertarian Challenge", The Alternative, October
- 1977, "Viewpoint: Secular Fundamentalism", Reason Magazine, novembre
- 1978,
- a. "Viewpoint. Warning to Constitutional Republicans", Reason Magazine, February, pp37-38, p46
- b. "Viewpoint: The Petr Principle", Reason Magazine, mai
- c. "Viewpoint: On Libertarian "Optimism"", Reason Magazine, août
- 1984,
- a. "The apocalyptics : cancer and the big lie : how environmental politics controls what we know about cancer", New York, Simon and Schuster
- b. "Behind the Cancer Terror", Reason Magazine, mai
- 1985, "Edith Efron replies: Dr. Weinhouse", Reason Magazine, janvier (Réponse au courrier adressé à la rédaction suite à un courrier de Sidney Weinhouse)
- 1992, "Native son. Why a black supreme court justice has no rights a white man need respect", Reason, February (article sur les audiences de confirmation de Clarence Thomas pour devenir juge à la Cour Suprême)
- Repris en 2004, "Native son. Why a black supreme court justice has no rights a white man need respect", In: Nick Gillespie, dir., "Choice: the best of Reason magazine", Benbella Books ed, pp113-132
- 1994, "Can the President Think?", Reason Magazine, novembre
Littérature secondaire
- 1977, Mark Frazier, "Spotlight: Changing the Media", Reason Magazine, septembre (biographie succincte d'Edith Efron)
- 1978,
- Thomas Avery, "Libertarian Liberation", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron )
- Jim Burns, "Toward Understanding", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron)
- Tim Condon, "Efron Is Right", Reason Magazine, juillet (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron)
- David J. Dawson, "Single Issues", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron )
- Karl Hess, "Not a Maoist", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron )
- Aaron Leonard, "Fellow Travellers", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron )
- Tibor Machan, "Entering the Arena", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à l'article précédent d'Edith Efron "Warning to Constitutional Republicans,")
- Tom G. Palmer, "Unprofessional Journalism", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron )
- Alan Reynolds, "Viewpont: On Tolerance and Humility", Reason Magazine, juillet (critique d'un article précédent d'Edith Efron)
- Murray Rothbard, "Unbelievable!", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à l'article précédent d'Edith Efron "Warning to Constitutional Republicans,")
- George H. Smith, "Unprofessional Journalism", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron )
- Mark Tier, "Smearing Anarchists", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron )
- Valerie J. Valrejean, "Ideological Hari-Kari", Reason Magazine, mai (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron )
- 1984, William Tucker, "Toxic Myth", commentaire du livre d'Edith Efron, "The Apocalyptics: Cancer and the Big Lie", Reason Magazine, septembre
- 1985, Sidney Weinhouse, "The Cancer Connection", Reason Magazine, janvier (Courrier adressé à la rédaction suite à un article précédent d'Edith Efron)
Liens externes
- Cancer and the Environment interview d'Edith Efron par Richard Heffner, dans l'émission "The Open Mind" à propos de son livre : "The apocalyptics : cancer and the big lie : how environmental politics controls what we know about cancer"
- "Obituary for Edith Efron: The Woman Who Saw Through Walls", article de Virginia Postrel publié sur son blog vpostrel.com le 19 avril 2001
Videos externes
- "Firing Line: The News Twisters", Interview d'Edith Efron par William Buckley, le 1er septembre 1971, Durée: 58:58