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Différences entre les versions de « Leonard Read »
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* [[1951]], Conscience on the Battlefield, Irvington-on-Hudson, N.Y.: Foundation for Economic Education | * [[1951]], Conscience on the Battlefield, Irvington-on-Hudson, N.Y.: Foundation for Economic Education | ||
* [[1956]], Unearned Riches, In: On Freedom and Free Enterprise, Mary Sennholz, Dir., Van Nostrand, Princeton | * [[1956]], Unearned Riches, In: On Freedom and Free Enterprise, Mary Sennholz, Dir., Van Nostrand, Princeton | ||
* [[1966]], [http://www.fee.org/Publications/the-Freeman/article.asp?aid=8105 Men of Prey], [[The Freeman: Ideas on Liberty]], October, Vol 16, n°10 | |||
* ''Accent on the Right''. | * ''Accent on the Right''. | ||
* ''Anything That's Peaceful''. | * ''Anything That's Peaceful''. |
Version du 30 mai 2008 à 21:17
Leonard Read | |||||
économiste | |||||
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Dates | 1898 - 1983 | ||||
Tendance | minarchiste | ||||
Nationalité | {{{nationalité}}} | ||||
Articles internes | Autres articles sur Leonard Read | ||||
Citation | |||||
Interwikis sur Leonard Read | |||||
Leonard E. Read (1898 - 1983) a créé la Foundation for Economic Education (FEE) en mars 1946, le premier think tank libertarien aux Etats-Unis.
En tant que président de la Chamber of Commerce de Los Angeles, il a combattu les politiques économiques marxistes et keynésiennes qui prévalaient alors, réfutant les accusations d'appauvrissement des travailleurs par la "bourgeoisie", et rejetant les arguments keynésiens selon lesquels le capitalisme est instable et génère un chômage de masse.
Il est l'auteur de 27 ouvrages. Son texte le plus célèbre est "Moi, le crayon" (I, pencil), publié en 1958, illustration de la métaphore de la main invisible : des millions de personnes participent à la création d'un simple crayon (division du travail), et aucune ne serait capable de le fabriquer à elle seule.
Bibliographie
- 1951, Conscience on the Battlefield, Irvington-on-Hudson, N.Y.: Foundation for Economic Education
- 1956, Unearned Riches, In: On Freedom and Free Enterprise, Mary Sennholz, Dir., Van Nostrand, Princeton
- 1966, Men of Prey, The Freeman: Ideas on Liberty, October, Vol 16, n°10
- Accent on the Right.
- Anything That's Peaceful.
- Castles in the Air.
- Deeper Than You Think.
- To Free or Freeze.
- The Freedom Freeway.
- Government: An Ideal Concept.
- Having My Way.
- How Do We Know?.
- Let Freedom Reign.
- The Love of Liberty.
- Pattern for Revolt.
- Seeds of Progress.
- Talking to Myself.
- Then Truth Will Out.
- Vision.
- Who's Listening?
Littérature secondaire
- 1998, Edmund A. Opitz, Leonard E. Read: A Portrait, The Freeman: Ideas on Liberty, September, Vol. 48, n°9
Liens externes
- Moi, le crayon (traduction française)
- Leonard E. Read sur Wikipedia(en)
- Entry on Leonard Read sur Disinfopedia(en)
- Foundation for Economic Education(en)
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L'École de Salamanque désigne le renouveau de la pensée dans divers domaines conduit par des théologiens espagnols à partir du travail intellectuel et pédagogique initié par Francisco de Vitoria.
Dès le début du XVIe siècle, les conceptions traditionnelles de l’homme dans sa relation avec Dieu et le monde avaient été remises en question par l’apparition de l’humanisme, la Réforme protestante, les grandes découvertes géographiques et leurs conséquences. Ces nouveaux problèmes furent abordés par Francisco de Vitoria, Domingo de Soto, Martín de Azpilcueta (ou Azpilicueta), Tomás de Mercado ou Francisco Suárez, tous jusnaturalistes et moralistes, fondateurs d’une école de théologiens et de juristes qui réalisa la réconciliation de la doctrine thomiste et du nouvel ordre économique. Cette école reformula le concept de droit naturel, défendit la souveraineté du peuple, théorisa le concept de guerre juste, et établit les premières théories économiques modernes. |
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