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Jeffrey Tucker
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Jeffrey Albert Tucker est le vice-président du Ludwig von Mises Institute qui s'occupe également du développement de l'école autrichienne d'économie au travers du blog de l'institut. Il est aussi chercheur adjoint au Mackinac Center for Public Policy et auprès de l'Acton Institute.
Jeffrey Tucker a rassemblé et annoté la bibliographie de Henry Hazlitt, sous le titre Henry Hazlitt: Giant For Liberty (Henry Hazlitt : Un géant pour la Liberté). En tant qu'écrivain, Jeffrey Tucker offre son talent et son humour aux sites LewRockwell.com et Mises.org. Parmi ses écrits, par exemple, on note l'essai sur l'apologie de la boisson au petit-déjeuner[1], ses conseils avisés pour se vêtir[2] ou encore son admiration pour le service coupe de cheveux minute[3].
Mais Jeffrey Tucker est aussi un chercheur sérieux qui s'exprime franchement par des critiques acérées, notamment de la Grameen Bank[4] lorsqu'elle fut récompensée en la personne de son créateur, Muhammad Yunus, du Prix Nobel de la paix en 2006.
Notes et références
- ↑ Bring Back the Breakfast Drink, LewRockwell.com, 16 juillet 2005
- ↑ How to Dress Like a Man, LewRockwell.com, 16 juillet 2003
- ↑ What Men Want, LewRockwell.com, 10 août 2005
- ↑ Microcredit or Macrowelfare: The Myth of Grameen, Mises.org, 8 novembre 2006
Bibliographie
- 1988, The Life and Work of a Dissident Scholar, The Free Market, Octobre, Vol 10, n°6, pp4,5
- Repris en 1988, The Life and Work of a Dissident Scholar, In: Llewellyn H. Rockwell Jr., dir., The Free Market Reader: Essays in the Economics of Liberty, Auburn, Ala.: Ludwig von Mises Institute, pp216-221
- 1990, Mises in Moscow! An Interview with an Austrian Economist From the U.S.S.R, In: Llewellyn Rockwell, dir., The Economics of Liberty. Auburn: The Ludwig von Mises Institute
- 1991,
- a. commentaire du livre de K. Groenveld, J. A. H. Maks et J. Muyske, dir., Economic Policy And The Market Process: Austrian Economics And Mainstream Economics, The Freeman, Novembre, Vol 41, n°11
- b. avec Llewellyn H. Rockwell, "The Cultural Thought of Ludwig von Mises", Journal of Libertarian Studies, Vol 10, n°1, Fall, pp23-52
- 1992, commentaire du livre de Richard A. Epstein, "Forbidden Grounds: The Case Against Employment Discrimination Laws", The Freeman, July, Vol 42, n°7
- 1993, Capitalism and Christians, commentaire du livre dArthur Jones, Capitalism and Christians: Tough Gospel Challenges in a Troubled World Economy, Religion and Liberty, Vol 3, n°2, March-April
- 1994, commentaire du livre de Edward N. Luttwak, "The Endangered American Dream", The Freeman, August, Vol 44, n°8
- 1997,
- a. The Marshall Plan Myth, The Free Market, septembre, Volume 15, Number 9
- Traduit en italien en 2008, Il mito del piano Marshall, le 3 février sur le site d'Arianna Editrice
- b. Capitalism, commentaire du livre de George Reisman, Capitalism: A Complete and Integrated Understanding of the Nature and Value of Human Economic Life, Religion and Liberty, Vol 7, n°4, July-August
- a. The Marshall Plan Myth, The Free Market, septembre, Volume 15, Number 9
- 2005, avec Stephan Kinsella, The Ordeal of Hoppe, The Free Market, Vol 26, n°4, April
- 2009, Marxism Without Polylogism, In: Jörg Guido Hülsmann et Stephan Kinsella, dir., Property, Freedom and Society. Essays in Honor of Hans-Hermann Hoppe, Auburn: Ludwig von Mises Institute, ISBN 978-1-933550-52-7, pp37-44
- 2012, "A Beautiful Anarchy: How to Create Your Own Civilization in the Digital Age", Laissez Faire Books
Citations
- On dit que les anarchistes ne tiennent pas compte des exigences de la nature humaine, mais c’est l'inverse. Si les gens sont faillibles, la vie chaotique, et le mal toujours tapi, la pire des solutions possibles est d'attribuer un monopole du pouvoir et de la violence à un groupe d'élite, de lui donner le pouvoir de faire des lois, d’obliger tout le monde à respecter leur législation, de rendre cette élite quasi impossible à déloger et de rendre ce système impossible à changer. Encore pire est de permettre à n'importe qui de pouvoir faire partie de ce mécanisme élitiste de l'Etat et de profiter de l'occasion pour imposer sa volonté à autrui. Cette approche instaure et institutionnalise les erreurs, les désordres et la malveillance, accentuant ainsi les tendances mêmes que la société s’efforce toujours d’éliminer, pour en faire les caractéristiques dominantes du système social lui-même. Les systèmes non-anarchistes de gestion sociale et politique extraient le pire de la nature humaine pour lui conférer le statut juridique le plus élevé possible.
- Les gens entrent en politique pour changer le monde. C'est une mauvaise idée. La seule bonne raison d'entrer en politique est de balayer le pouvoir pour permettre au monde de se changer lui-même. (23/03/2014)
Liens externes
- (en)Archives au LewRockwell.com de Jeffrey Tucker
- (en)Archives au Mises.org de Jeffrey Tucker
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