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Roger Koopman
Roger Koopman est un chroniqueur politique américain originaire de Bozeman, dans l’État du Montana. Ancien entrepreneur, il s’est ensuite engagé dans la vie publique, exerçant deux mandats comme législateur à la Montana House of Representatives où il a représenté la ville de Bozeman, puis **, ainsi que huit années, en deux mandats, passées à la Montana Public Service Commission en tant que commissaire au service public ('public service commissioner') du District 3. Sa carrière est marquée par un attachement constant aux principes de la liberté individuelle et de la responsabilité citoyenne.
Biographie
Roger Koopman est reconnu pour son engagement de longue date en faveur d’une économie libre et d’un État limité.
Dès la chute de l’Union soviétique au début des années 1990, il élabore ce qu’il nomme le 'Plan Koopman' une proposition ambitieuse visant à négocier l’achat et la destruction de l’arsenal nucléaire russe, tout en armant massivement la population civile de Russie afin de favoriser l’émergence d’une société véritablement libre. Cette idée, bien que restée confidentielle, illustre sa conviction que « la liberté est contagieuse » et que la possession d’armes par les citoyens constitue une garantie essentielle contre la tyrannie.
En 2007, il se fait remarquer en parrainant un projet de loi visant à permettre aux districts scolaires de certifier des enseignants par une procédure alternative, sur une base d’essai d’un an[1]. Cette initiative provoque une opposition vive du syndicat des enseignants, qui organise une manifestation bruyante dans la galerie de la Chambre. L’incident devient pour lui un exemple marquant du contraste entre le respect des règles parlementaires et les formes plus agressives de militantisme qu’il dénoncera plus tard.
Après ses mandats de législateur, il est élu commissaire au service public (public service commissioner), fonction qu’il occupe également durant deux mandats. Ses prises de position reflètent un attachement fort aux valeurs conservatrices : défense de la liberté individuelle, protection des droits constitutionnels (notamment le droit au port d’armes), respect de la liberté religieuse et importance de la civilité dans le débat public.
En tant que chroniqueur, notamment pour 'The Epoch Times', il commente des sujets aussi variés que la politique intérieure américaine, les questions de société et les relations internationales. Dans ses écrits, il défend l’idée qu’un peuple armé est mieux à même de préserver sa liberté, une conviction qui s’exprime autant dans son analyse de la guerre en Ukraine que dans ses réflexions sur l’histoire politique post-soviétique à travers ce qu’il appelle le Koopman Plan.
Personnalité engagée et attachée aux principes qu’il considère comme fondateurs de la démocratie américaine, Roger Koopman poursuit aujourd’hui son activité d’auteur et de commentateur politique depuis le Montana, mêlant expériences personnelles et plaidoyers pour ce qu’il décrit comme la préservation des libertés fondamentales.
Au fil des années, Roger Koopman s'est exprimé régulièrement dans les médias, notamment au travers de chroniques publiées dans 'The Epoch Times'. Dans un article paru en mars 2022[2], au début de la guerre en Ukraine, il développe sa thèse selon laquelle un peuple armé est mieux à même de préserver son indépendance, et critique les restrictions sévères sur la possession d’armes à feu imposées historiquement par le gouvernement ukrainien.
Un parcours politique ancré dans le libre marché et la défense des libertés économiques
L'intérêt de Roger Koopman pour les politiques économiques remonte à plusieurs décennies. Dès 1988 dans la revue The Freeman, il publie un article sur le salaire minimum dans lequel il dénonce ce qu’il considère comme un exemple typique de « bonne intention mais une mauvaise idée ». S’appuyant sur des références intellectuelles comme l’économiste Henry Hazlitt (*Economics in One Lesson*) et le professeur Walter Williams, Koopman défend l’idée que la fixation légale d’un salaire minimum détruit l’emploi pour les travailleurs peu qualifiés, particulièrement chez les jeunes et les minorités visibles et invisibles.
Cette opposition au salaire minimum s’inscrit dans une vision plus large : pour Koopman, l’État ne doit pas s’immiscer dans les contrats librement consentis entre individus, qu’il s’agisse d’un travailleur proposant ses services ou d’une entreprise fixant ses prix. Il considère la régulation économique comme une distorsion qui affaiblit la liberté individuelle et réduit la prospérité globale.
Son expérience à la Public Service Commission et au parlement du Montana a renforcé sa conviction que la liberté économique ne se maintient que si les citoyens « font confiance à la liberté » et défendent jalousement leur droit à prendre leurs propres décisions économiques.
La liberté est vulnérable quand une nation est désarmée
Pour Roger Koopman, l’essence d’une nation véritablement libre réside dans la confiance que l'État accorde à ses citoyens, notamment dans leur droit inaliénable à se défendre eux-mêmes et à défendre leur patrie. Cette liberté implique la reconnaissance et la protection de la possession privée d’armes à feu, considérée, selon lui, comme le moyen le plus efficace de garantir la sécurité d’un foyer, d’une communauté et d’un pays tout entier.
Or, dans l’Ukraine d’avant 2022, la situation était à l’opposé de ce principe. Le pays interdisait totalement la possession d’armes de poing et ne permettait l’acquisition d’armes de longue portée qu’après l’obtention d’une licence restrictive, avec enregistrement obligatoire au niveau national. Les chiffres illustrent cette réalité : en 1997, à peine 1 % de la population possédait légalement une arme, et moins de 8 % des foyers étaient armés. Même en incluant les armes du marché noir, l’Ukraine figurait parmi les pays ayant le plus faible taux d’armement civil au monde.
Pour Koopman, cette politique traduisait une méfiance structurelle de l’État envers sa population, une caractéristique qu’il associe davantage aux régimes autoritaires qu’aux démocraties. Un peuple désarmé, explique-t-il, est un peuple vulnérable : incapable de repousser la tyrannie interne ou une agression extérieure.
Ainsi, lorsque la Russie a lancé son invasion en 2022, l’Ukraine s’est retrouvée contrainte de distribuer en urgence des armes détenues par l’État à des civils souvent dépourvus d’entraînement adéquat. Une nouvelle loi fut adoptée pour « donner la permission » aux citoyens de porter des armes et d’agir en légitime défense. Mais, souligne Koopman, la formulation même de cette loi en termes de « permission » montrait que ce droit n’était pas considéré comme naturel et permanent, mais comme un privilège temporaire dicté par les circonstances.
À ses yeux, si l’Ukraine avait eu depuis longtemps une population largement armée et formée, la perspective d’une invasion aurait représenté un suicide militaire pour la Russie. Les forces de Vladimir Poutine auraient alors fait face non seulement à une armée régulière, mais aussi à des millions de civils capables de résister efficacement, rendant l’opération trop coûteuse et probablement dissuasive. Pour Koopman, cette absence de liberté armée fut donc un facteur stratégique déterminant qui a contribué à rendre l’invasion russe envisageable et, finalement, possible.
Décentralisation et liberté locale : le combat pour la certification alternative des enseignants
En 2007, alors qu’il siège à la 'Montana House of Representatives', Roger Koopman engage un bras de fer politique autour d’un projet de loi qui illustre parfaitement sa vision de l’action publique : rapprocher le pouvoir des citoyens et réduire l’emprise des structures centralisées.
La mesure qu’il parraine propose d’autoriser les districts scolaires du Montana à certifier eux-mêmes, sur une base d’essai d’un an, des enseignants qu’ils jugent qualifiés, même si ceux-ci ne possèdent pas la certification traditionnelle délivrée par l’État. L’objectif est double : répondre rapidement aux pénuries d’enseignants et ouvrir la profession à des profils variés, comme des experts issus du monde professionnel ou scientifique.
Pour Koopman, cette réforme allait dans le sens d’une décentralisation réelle, donnant aux communautés locales la liberté de recruter les talents qu’elles estiment les plus aptes à enseigner à leurs enfants. Elle traduisait également sa conviction que les instances locales, responsables devant leurs électeurs, prennent souvent des décisions plus pragmatiques et adaptées que les bureaucraties centralisées.
La proposition se heurte à une opposition farouche du syndicat des enseignants, qui y voit une menace pour les standards de qualification et l’unité du corps professionnel. Le 10 février 2007, lors de l’examen du projet, des dizaines de syndicalistes envahissent la galerie de la Chambre et perturbent les débats. L’incident se termine par une évacuation ordonnée par le président de séance après plusieurs avertissements, marquant l’un des épisodes les plus tendus de la session.
Pour Roger Koopman, cet affrontement confirme un diagnostic qui traverse toute sa carrière : les grandes structures centralisées, qu’elles soient syndicales ou gouvernementales, tendent à protéger leurs propres intérêts au détriment de la flexibilité et de la liberté locales. Ce combat, au-delà de la question éducative, illustre la cohérence de son engagement en faveur d’une gouvernance proche du terrain, d’institutions responsabilisées et d’une réduction de l’influence des intermédiaires entre le citoyen et la décision publique.
La tolérance mutuelle des mensonges : un poison pour la vie politique
Dans ses réflexions sur l’éthique publique[3], Roger Koopman accorde une place centrale au problème de la tolérance mutuelle des mensonges entre acteurs politiques. Fort de son expérience au sein de la vie parlementaire du Montana, il observe que, loin d’être un simple accident de parcours, le mensonge est souvent accepté, banalisé et même échangé comme une monnaie d’influence.
Koopman raconte un épisode marquant : confronté à un collègue républicain avec la preuve qu’un tiers propageait à son sujet des mensonges grossiers, il reçoit en retour un simple haussement d’épaules. Plus frappant encore, après avoir révélé que ce même individu colportait également des calomnies à son encontre, le collègue, loin de s’en offusquer, finit par s’allier avec l’auteur des diffamations. Ce comportement, estime Koopman, illustre une règle implicite du jeu politique : les menteurs se tolèrent entre eux tant que les mensonges servent leurs intérêts du moment.
Pour lui, cette complaisance mutuelle a des effets corrosifs. Elle installe un climat de relativisme moral, où la recherche de la vérité passe au second plan derrière l’opportunité stratégique. La politique devient alors un espace où la manipulation prévaut sur la sincérité, et où la méfiance généralisée affaiblit la cohésion des mouvements, y compris ceux qui se réclament de principes élevés comme la liberté ou l’intégrité.
Koopman établit un parallèle entre cette dynamique et l’érosion progressive des causes politiques : à force de mentir ou de tolérer les mensonges, un mouvement politique finit par perdre le sens de sa mission initiale. Les idéaux fondateurs s’estompent « comme des peintures oubliées dans une cave », remplacés par l’ambition personnelle et les gains à court terme.
Dans cette perspective, il affirme que tolérer le mensonge, c’est y participer. Et pour un peuple attaché à la liberté, accepter que ses représentants se mentent mutuellement, et mentent à leurs électeurs, revient à semer les graines de la corruption politique et à préparer le terrain au gouvernement que l’on mérite, plutôt qu’à celui que l’on espère.
Le mensonge comme vol moral : une atteinte invisible mais profonde
Pour Roger Koopman, le mensonge n’est pas seulement une faute morale ou un manque de sincérité : il constitue une forme de 'vol moral'. Dans cette perspective, tromper autrui, c’est lui dérober quelque chose de précieux, la vérité, et le priver de la possibilité d’agir ou de penser en connaissance de cause.
Il décrit la communication comme un 'covenant', une relation de confiance implicite entre celui qui parle et celui qui écoute. Cette relation repose sur l’hypothèse que chacun transmet à l’autre ce qu’il croit être vrai. Rompre volontairement ce pacte, c’est, selon Koopman, non seulement trahir cette confiance, mais aussi violer un droit fondamental : le droit de disposer d’informations exactes pour guider ses choix.
Il pousse l’analogie plus loin : 'le mensonge est plus grave qu’un vol matériel'. Lorsqu’on est dépouillé par un voleur armé, on sait immédiatement ce qui a été pris. Mais lorsque le vol porte sur la vérité, il peut rester invisible. La victime ignore parfois qu’elle a été trompée et continue à agir sur la base de fausses informations, avec des conséquences potentiellement durables, parfois jusqu’à la fin de sa vie.
Pour Koopman, ce type de vol est particulièrement destructeur en politique. Là où les citoyens devraient pouvoir compter sur l’honnêteté de leurs représentants, le mensonge installe la manipulation et fragilise les fondements mêmes de la démocratie. En faussant le jugement des électeurs, il vole à la collectivité son droit de décider en toute lucidité, et remplace le débat d’idées par la guerre des illusions.
Dans cette logique, combattre le mensonge ne relève pas seulement de l’éthique personnelle, mais d’une responsabilité civique. Pour préserver la liberté politique, selon lui, il faut protéger la vérité comme un bien commun, et traiter toute falsification délibérée comme un acte de spoliation qui appauvrit moralement la société.
Défense des valeurs chrétiennes et de la civilité
Roger Koopman accorde une importance particulière à la civilité et au respect des valeurs chrétiennes dans la vie publique. Pour lui, le débat démocratique ne peut se maintenir que si les échanges, même passionnés, sont encadrés par des règles de respect mutuel et par une retenue morale qui protège la dignité de toutes les parties.
Dans ses écrits[4], il prend pour exemple des épisodes vécus au parlement du Montana, où il a siégé, pour illustrer la différence entre une opposition vigoureuse mais respectueuse, et les dérives qu’il associe à l’incivisme militant. L’affaire la plus marquante à ses yeux est celle survenue en 2023 autour de la députée Zooey Zephyr, qu’il accuse d’avoir manqué à la décence parlementaire en utilisant la prière comme support d’une attaque personnelle et en menant une interruption organisée des travaux législatifs.
Koopman voit dans ce type d’incident une rupture avec la tradition américaine de tolérance et de courtoisie entre adversaires politiques. Pour lui, les institutions démocratiques sont affaiblies lorsque la scène politique devient un espace de provocation permanente, où l’insulte et le geste symbolique prennent le pas sur l’argumentation.
Sa référence aux valeurs chrétiennes n’est pas seulement religieuse, mais aussi culturelle : elles incarnent, selon lui, l’idée de service, d’humilité et de compassion, qu’il considère comme les fondations morales de la République. La prière en séance, par exemple, devrait rester un moment de recueillement solennel et non un outil rhétorique pour humilier un adversaire.
En liant ainsi la civilité politique aux vertus chrétiennes, Koopman défend une conception de la démocratie comme un équilibre entre liberté d’expression et discipline morale. La liberté de parole, à ses yeux, ne se résume pas à dire tout ce que l’on pense : elle suppose aussi la responsabilité de parler avec honnêteté, retenue et respect, afin que le débat public demeure constructif et que les institutions conservent leur légitimité.
La vie avant tout : un engagement pro-vie qui subordonne la liberté individuelle à l’autorité
Dans ses prises de position pro-vie[5], Roger Koopman érige la protection de la vie humaine en priorité absolue. Selon lui, la mission première d’un État libre est de défendre l’innocence de l’enfant à naître, qu’il désigne presque toujours comme un « bébé » plutôt que comme un fœtus. Cette confusion terminologique n’est pas fortuite : elle traduit une volonté délibérée d’effacer la distinction entre un être en développement et un nouveau-né, afin de conférer au fœtus les mêmes droits qu’à un enfant déjà né.
Koopman soutient que la liberté ne peut exister sans la vie, et que, par conséquent, le droit à la vie prime sur tous les autres droits, y compris ceux liés à l’autonomie corporelle et à la vie privée. Dans cette logique, l’État ne se contente pas de protéger ses citoyens contre des menaces extérieures : il s’arroge la responsabilité d’interdire à une femme de décider du sort de sa grossesse, au nom de la préservation d’un tiers, le fœtus, considéré comme un citoyen à part entière dès la conception.
Cette position introduit un paradoxe dans sa vision politique. Koopman revendique une philosophie attachée à la liberté individuelle, à la responsabilité personnelle et à la limitation du pouvoir gouvernemental. Pourtant, sur la question de l’avortement, il adopte une posture où l’autorité publique prévaut sur le choix intime de l’individu. La liberté personnelle de la mère se trouve ainsi subordonnée à une obligation imposée par l’État, non pas en vertu d’un contrat social classique, mais d’un principe moral à dimension théosophique, où la vie est sacrée dès sa conception.
Pour Koopman, il n’y a là aucune contradiction : protéger la vie est le fondement même de la liberté. Pour ses critiques, au contraire, cette conception absolue de la vie aboutit à relativiser, voire à restreindre oupire à annihiler, l’espace même de la liberté individuelle, révélant ainsi les limites pratiques de son discours libertarien.
Déclin moral et effondrement des valeurs fondatrices : une lecture culturelle de la crise américaine
Au-delà de ses positions ponctuelles sur des enjeux comme l’avortement ou le port d’armes, Roger Koopman inscrit son discours dans une analyse globale de ce qu’il perçoit comme une décadence culturelle profonde aux États-Unis. Selon lui, le pays connaît un effondrement progressif de ses valeurs fondatrices, celles qui ont façonné son identité politique et assuré sa cohésion sociale depuis l’époque des Pères fondateurs.
Koopman attribue cette dérive à un changement interne des mentalités plutôt qu’à une simple série de facteurs politiques ou économiques. Pour lui, la cause première est une érosion de la conscience morale collective, un glissement des priorités qui a conduit à valoriser l’intérêt personnel au détriment de la responsabilité envers autrui. Ce déclin, estime-t-il, s’exprime dans l’acceptation croissante de comportements et de pratiques qu’il juge contraires aux principes fondamentaux de la liberté américaine, comme la censure des opinions dissidentes.
Dans son analyse, cette transformation culturelle a ouvert la porte à un environnement politique plus autoritaire et plus polarisé. L’espace public, autrefois fondé sur le débat et le compromis, est devenu un champ de confrontation permanente, où le respect mutuel s’efface devant la logique de l’affrontement. Les institutions (écoles, médias, universités) ne seraient plus des lieux de formation citoyenne, mais des vecteurs d’idéologies qui sapent la vision originelle d’une société libre et responsable.
Koopman s’appuie volontiers sur des références historiques et religieuses pour illustrer ce déclin. Dans un article publié le 22 septembre 2022 dans The Epoch Times, intitulé 'When America Finds Her Heart, America Will Find Her Soul', il cite l’avertissement formulé en 1835 par deux pasteurs britanniques, Andrew Reed et James Matheson : '« America will be great if America is good. If not, her greatness will vanish away like a morning cloud »'. Selon lui, cette phrase résume l’idée que la grandeur politique repose sur une base morale solide et que, si cette base s’effrite, les États-Unis risquent de perdre à la fois leur unité et leur statut de nation libre.
En somme, pour Roger Koopman, la crise américaine n’est pas seulement politique ou institutionnelle : elle est avant tout spirituelle et culturelle. Restaurer la liberté exige donc, à ses yeux, une restauration préalable du sens moral et du respect des principes qui ont donné naissance à la République.
Informations complémentaires
Notes et références
- ↑ "Montana House Affair Underscores Breakdown in Manners and Respect", article de Roger Koopman déposé le 15 mai 2023, sur le site de 'The Epoch Times'
- ↑ "A Free Ukraine Would Not Have Been Attacked", article de Roger Koopman déposé le 13 mars 2022 et mis à jour le 15 mars 2022, sur le site de 'The Epoch Times'
- ↑ "Why Do Politicians Lie?", article de Roger Koopman déposé le 7 février 2022, sur le site de 'The Epoch Times'
- ↑ "Montana House Affair Underscores Breakdown in Manners and Respect", article de Roger Koopman déposé le 15 mai 2023, sur le site de 'The Epoch Times'
- ↑ "When America Finds Her Heart, America Will Find Her Soul", article de Roger Koopman déposé le 22 septembre 2022, sur le site de 'The Epoch Times'
Publications
- 1988, "The Minimum Wage: Good Intentions, Bad Results. Wages rise in response to the creation of new wealth through greater productivity", The Freeman, March, Vol 38, n°3, pp106-107 [lire en ligne]
- 1994, "Jury Nullification: Cornerstone of Freedom", The Freeman, February, Vol 44, n°2, pp81-82 (L'auteur se désespère que Le système américain de jury ressemble peu au système établi par les Pères fondateurs.)