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Pietro Monsurrò

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Pietro Monsurrò
Économiste

Dates 1979 -
Tendance
Nationalité Italie Italie
Articles internes Autres articles sur Pietro Monsurrò

Citation
Interwikis sur Pietro Monsurrò

Pietro Monsurrò, né en 1979, à Rome, en Italie, est un ingénieur et économiste italien.

Biographie

Il est professeur d'ingénierie à l'Université La Sapienza de Rome. Il est titulaire d'un doctorat en génie électronique et il a étudié l'économie à la London School of Economics. Il a écrit sur des questions politiques et économiques dans divers journaux en ligne et imprimés, notamment Il Foglio, Libertiamo[1], "Strade", "Liberal", "Aspenia", "Chicago-Blog" et "Liber@mente". Ses principaux centres d'intérêts portent sur l'école autrichienne d'économie, le libéralisme, le capital humain, l'éthique et l'économie de marché. Dans la revue Storialibera, il a commencé en 2017, une série de quatorze articles qui présente, pour chacun d'eux, un aspect différent de l'école autrichienne d'économie.

L'auteur apprécie la forme littéraire de la logique par l'absurde (reductio ad absurdum), pour dénoncer les articles qui ont pour prétention de détruire les principes de l'économie de marché. Il dénonce les absurdités idéologiques qui ne permettent pas de comprendre le monde. Conscient des efforts pour la réduction de la pression fiscale, en Italie, celle-ci aurait des conséquences positives sur la croissance économique. Car, le pays à la forme de botte, compte comme presque l'ensemble des pays industrialisés, un nombre incalculable d'impôts : les taxes à la consommation: TVA et accises sur les cigarettes, l'alcool et l'essence ; les taxes foncières récurrentes (IMU) ou non récurrentes (les taxes de changement de propriété) ; les charges sur le travail (IRPEF, les cotisations sociales, IRAP) ; ou enfin celles sur les sociétés et les investissements : Conto Titoli, IRES, impôt sur les revenus du capital, etc. Pietro Monsurrò déplore que l'Italie soit une des premières nations au monde en ce qui concerne la pression fiscale sur le travail et les entreprises. La réduction des taxes est la priorité et ce n'est pas les augmentations néfastes des gouvernements Berlusconi et Monti qui ont amélioré les choses. Il en conclut l'idée que tous les impôts sont nuisibles, mais leur dangerosité pour l'économie n'est égale. Il est alors préférable de minimiser les effets négatifs qui influent directement sur la croissance.

Notes et références

  1. Libertiamo est une association de culture politique qui promeut les idées libérales, libertaires et libertariennes, convaincue que la croissance économique et civile d'un pays nécessite des politiques dans lesquelles les objectifs de cohésion, de stabilité et de sécurité ne sacrifient pas, mais au contraire, renforcent les besoins de liberté, de responsabilité et d'initiative individuelle.

Publications

Textes externes

  • "Repubblica dimostra che la democrazia (e il sesso) ci rendono cattivi", ("Le journal 'La Repubblica' prouve que la démocratie (et le sexe) nous rendent mauvais"), texte écrit par Pietro Monsurrò sur le blog Libertiamo, le 17 mai 2013. L'auteur commente un article du journal italien 'La Repubblica' qui rend compte de l'expérience menée par Armin Falk, un économiste à l'Université de Bonn. Un groupe de volontaires est appelé à décider du sort de certaines souris de laboratoire. Pietro Monsurrò en tire une caricature. Selon lui, l'expérience d'Armin Falk tendrait à faire croire que la démocratie tue l'éthique car le vote rendrait tout le monde pire.
  • "Ridurre la pressione fiscale, non è l’IMU la priorità", ("Réduire la pression fiscale, l'IMU (les impôts fonciers) n'est pas la priorité"), texte écrit par Pietro Monsurrò sur le blog Libertiamo, le 29 avril 2013. L'auteur reprend le débat suite à article de Carlo Stagnaro qui déclarait que l'abolition des impôts fonciers (IMU) n'est pas la priorité, car le système fiscal italien avait d'autres problèmes plus graves à régler.


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