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Typhanie Afschrift

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Typhanie Afschrift
Auteur, avocat

Dates Né en 1953
Typhanie Afschrift.jpg
Tendance Libertarien
Nationalité Belgique Belgique
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Citation
Interwikis sur Thierry Afschrift

Typhanie Afschrift, né Thierry Afschrift le 13 septembre 1953, est avocate au barreau de Bruxelles, spécialisée dans la fiscalité, et professeur à l'Université Libre de Bruxelles. Elle est membre de la Ligue des Contribuables (Belgique). Le cabinet d'avocats qu'elle crée, à Bruxelles, a depuis essaimé en Europe (notamment l'Espagne) et jusqu'en Israël. Par ailleurs, Typhanie Afschrift s'est spécialisée dans les questions juridiques et fiscales liées à la finance islamique.

C'est une avocate fiscaliste de premier plan, experte reconnue de la fiscalité en Belgique ainsi qu'une professeure d’université renommée.

Elle fait partie des 100 auteurs des livres Libres ! 100 idées, 100 auteurs et Libres !! - 100 idées / 100 auteurs / 100 feuillets.

Vie privée

Marié et père de 4 enfants, il fait en juillet 2020 dans Paris Match Belgique son coming-out transgenre[1]. Il déclare alors : « la transidentité n’est pas une maladie mais l’expression d’une liberté »[2].

Citations

  • « Il faut défendre toutes les libertés, pas seulement celle de gagner de l’argent. »[3]
  • « Nous aussi, nous sommes des indignés ! Indignés par les dettes que les États ont contractées en notre nom ; indignés par la pression fiscale ; indignés par le contrôle étatique sur presque toutes les activités, par les réglementations et la régulation omniprésentes ; indignés par une politique monétaire publique qui appauvrit tout le monde; indignés par l’État tout simplement. »
  • « On voit mal comment des États qui ont décidé, au nom de leur souveraineté, d’établir à charge de leurs résidents des impôts très lourds, comme le font les enfers fiscaux, pourraient trouver un motif valable de jeter l’opprobre sur d’autres États qui, au nom de la même souveraineté, ont choisi de ne pas accabler leurs habitants de prélèvements obligatoires. »
  • « Pour s'assurer du soutien des masses, les nouveaux pouvoirs populistes leur promettront, comme d'aucuns le proposent déjà, une « allocation universelle », payée à toute personne qui se donne la peine de vivre, qu'elle travaille ou non, quels que soient son âge, son état de fortune, sa condition ou ses mérites. On offrira, pour la première fois depuis l'expulsion d'Adam et Eve du jardin d'Eden, le droit de vivre sans travailler, certes médiocrement et sans fleuves de lait. Cela vaudra bien la peine de « faire payer les riches », même si, une fois que ceux-ci auront disparu, ou seront devenus pauvres, on ne sait qui financera le futur Paradis social. L'expérience communiste a montré que le seul mérite du socialisme était toujours la répartition à peu près égale de la misère. » (La Tyrannie de la redistribution)
  • « S'il existe des paradis fiscaux, c'est parce qu'il y a des enfers fiscaux (...). Lorsqu'un État dépense plus de 55 % de ce que ses habitants ont gagné, et qu'il s'avère incapable de réduire réellement ses dépenses, il serait bien avisé de se demander si ce n'est pas sa politique qui suscite l'attrait pour les paradis fiscaux. »
  • « Ce pouvoir repose sur une espèce de présomption que tout est à tout le monde, et qu'aucune propriété n'est définitivement acquise, puisqu'elle n'est qu'un élément d'un ensemble que l'autorité peut s'approprier, notamment en vertu de son pouvoir fiscal illimité. Ce pouvoir présuppose aussi que, chargé d'agir pour un « Bien Commun », notion d'origine religieuse et jamais définie, l'Etat le fera effectivement. On suppose aussi que la « redistribution » des revenus décidée par l'Etat sera plus juste, ou parfois dite plus « efficace » que celle qui résulte des activités librement choisies et des contrats librement conclus. » (La Tyrannie de la redistribution)
  • « Si l’on peut présumer que les actionnaires agissent dans l’intérêt de leur société, et donc qu’en accordant des avantages, même très élevés, à des dirigeants, ils pensent réellement obtenir de lui la contrepartie de leur investissement, il est beaucoup plus douteux qu’il en soit de même des hommes politiques, lorsqu’ils définissent la rémunération des dirigeants d’entreprises publiques. Il est notoire que les critères liés à l’affiliation politique, à l’échange de services rendus, et à tout ce qui constitue les défauts du « capitalisme de connivence » pèsent beaucoup plus dans la balance que l’intérêt réel de l’État actionnaire. » (Libres !!)

Notes et références

Publications

Liens externes


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