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François Mitterrand
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François Mitterrand | |||||
Homme politique | |||||
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Dates | 1916 - 1996 | ||||
Tendance | Antilibéral | ||||
Nationalité | ![]() | ||||
Articles internes | Autres articles sur François Mitterrand | ||||
Citation | « Les libéraux [sont ceux], qui, évidemment acceptent comme nous l’héritage démocratique dans le domaine politique, mais qui refusent nos méthodes et nos structures sur le plan de l’économie. » | ||||
Interwikis sur François Mitterrand | |||||
François Mitterrand, né le 26 octobre 1916 à Jarnac en Charente et mort le 8 janvier 1996 à Paris, fut un homme d'État français, président de la République de 1981 à 1995.
Citations
- Dernier "Capétien" d'une Ve République ouverte en fanfare par le gaullisme des Trente Glorieuses, il aura inauguré dans la pénombre les Trente Piteuses du déclin. Héraut de l'"exception française", parrain d'un mirifique modèle social entretenu par la dette, il aura inoculé à la France le poison des "avantages acquis". Face aux fantasmes subliminaux du "toujours plus" - un professeur par élève, un médecin par patient -, il fut l'appariteur d'un cycle d'illusions et d'impuissance. (Claude Imbert)
- Nos socialistes cultivent la nostalgie des lendemains qui chantent – le chant des sirènes sans doute. Ils sont toujours viscéralement contre le capitalisme, contre le marché, contre les riches, contre les patrons. Ils sont toujours viscéralement pour l’étatisme, pour la réglementation, pour la redistribution, pour la lutte des classes. « Je suis marxiste » déclarait François Mitterrand à la veille de son élection en 1981. (Jacques Garello)
- On a oublié l’arrogance haineuse des vainqueurs de 81 qui, comme Robespaul Quilès, voulaient « des têtes », les nationalisations rageuses et absurdes que les socialistes eux-mêmes, à commencer par Jospin, ont dû annuler, les dévaluations en cascades, la « chasse aux curés » de l’Ecole libre, la volte-face de la rigueur, les premiers vrais grands scandales politico-financiers, l’ambiance nauséabonde de la cour de « Tonton » où l’on cachait la fille adultérine et faisait écouter les téléphones. (Thierry Desjardins)
- Mitterrand ne connaissait rien à l’économie. Il faisait partie de cette génération de Français cultivés pour qui une belle phrase, riche de sens et bien ciselée, l’emportait sur toute autre considération et notamment sur les sujets économiques. Dans une France de rentiers, cette disposition ne faisait pas tache. Mais dans un pays plongé dans la concurrence européenne et mondiale, comme l’était la France de la fin du XXe siècle, il s’agissait d’une véritable tare. Surtout si l’on ajoute le fait que Mitterrand ne parlait pas une seule langue étrangère. (Claude Reichman)
Articles connexes
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