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Nouvelle-Zélande
Arrivé à une situation catastrophique en 1984, le nouveau gouvernement réformateur élu du prendre des mesures drastiques. Le revenu national par habitant avait chuté comparativement aux autres pays. le taux de chômage atteignait des niveaux très élevés (11.6%). Le budget de l'Etat s'alourdissait et se déséquilibrait d'année en année. La dette publique s'était élevée à 65 % du PNB. Le Public fuyait les emprunts d'Etat ce qui renchérissait le taux d'intérêt et le coût des emprunts. Le pays vivait presque dans un état de guerre ou de totalitarisme. Le contrôle des changes était draconien[1], le contrôle des prix s'étendait à tous les biens et services, quelle que soit l'activité et les salaires étaient gelés y compris les primes et autre bénéfices. Les jeunes personnes en âge de travailler s'expatriaient en masse en Australie, aux Etats-Unis et en Europe. Le pays était au bord du gouffre. Le gouvernement n'avait plus d'autre choix que de libéraliser la vie économique du pays.
Aspects libéraux de la Nouvelle-Zélande
Aspects non libéraux de la Nouvelle-Zélande
Notes et références
- ↑ Par exemple, un abonnement à une revue étrangère exigeait l'autorisation du ministre des finances. Quelqu'un qui souhaitait acheter des actions d'une société étrangère devait radicalement abandonner sa nationalité néo-zélandaise.
Bibliographie
- 2005, Maurice P. Mac Tigue, "Réduire l'Etat à ses justes proportions : la Nouvelle Zélande", Point de Rencontre, n°78, octobre