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« Microcrédit » : différence entre les versions

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== Bibliographie ==
== Bibliographie ==


* [[2006]], [[Emily Chamlee Wright]], [http://www.conversationsonphilanthropy.org/PDFs/2006_Chamlee_Wright.pdf Fostering Sustainable Complexity in the Microfinance Industry: Which Way Forward?], Conversations on Philanthropy, Indianapolis, Philanthropic Transformations, Vol III, n°5, pp23-44
* [[2006]], [[Emily Chamlee-Wright]], [http://www.conversationsonphilanthropy.org/PDFs/2006_Chamlee_Wright.pdf Fostering Sustainable Complexity in the Microfinance Industry: Which Way Forward?], Conversations on Philanthropy, Indianapolis, Philanthropic Transformations, Vol III, n°5, pp23-44


* [[2007]], Thomas Dichter, Time to Stop Fooling Ourselves about Foreign Aid, Cato Institute Foreign Policy Briefing, n°86, September 12
* [[2007]], Thomas Dichter, Time to Stop Fooling Ourselves about Foreign Aid, Cato Institute Foreign Policy Briefing, n°86, September 12

Version du 17 septembre 2010 à 15:46

Le microcrédit est une forme de crédit qui consiste en l'attribution de prêts de faible montant à des entrepreneurs ou des artisans qui ne peuvent accéder aux prêts bancaires classiques. Le microcrédit se développe surtout dans les pays en développement. Il y permet de concrétiser des microprojets favorisant ainsi l'activité et la création de richesse. Mais il se pratique aussi bien dans les pays développés ou en transition.

Cette forme de crédit est souple, très adaptée à l'échelon local et demande peu de moyens. Le Prix Nobel de la paix 2006, Muhammad Yunus, a commencé son activité de microcrédit au Bangladesh par des "micro-prêts" de quelques dollars à quelques dizaines d'habitants d'un village pauvre voisin de son université, en utilisant son propre argent.

Citations

  • Effectivement le microcrédit apparaît comme la véritable solution de financement des économiquement faibles qui souhaitent s’en sortir en créant eux-mêmes leur activité plutôt qu’en espérant une embauche aléatoire dont le coût employeur est surenchéri par le fardeau des charges sociales. (...) Mais, après le passage du microcrédit et la création d’activité qu’elle génère, l’exclu a pu reprendre confiance dans ses capacités créatrices et gagner ainsi une fierté dont on l’avait dépossédé en nourrissant sa rancœur sociale et son cortège éventuel de transgressions. L’exclu devenu créateur a su trouver une façon d’être utile et de s’en rémunérer, il a su mettre à la disposition de la société un peu de farine et de lait pour élaborer le gâteau des richesses. Il se rendra bien vite compte que de bénéficiaire net de la redistribution il devient contributeur et va rapidement s’émouvoir pour le moins de ce que ses créations lui coûtent en impôts, charges et tracasserie. (Xavier Prégentil, 18/06/2007)

Bibliographie

  • 2007, Thomas Dichter, Time to Stop Fooling Ourselves about Foreign Aid, Cato Institute Foreign Policy Briefing, n°86, September 12

Liens externes


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