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'''Bruno Bertez''', né en 1944, est un entrepreneur français, spécialisé dans la [[presse]]. Diplômé de HEC (1967), il est le créateur du quotidien ''La Tribune''. Il est actionnaire de l'Agefi suisse, et longtemps conseiller de son propriétaire, [[Alain Fabarez]].
'''Bruno Bertez''', né en 1944, est un entrepreneur français, spécialisé dans la [[presse]]. Diplômé de HEC (1967), il est le créateur du quotidien ''La Tribune''. Il est actionnaire de l'Agefi suisse, et longtemps conseiller de son propriétaire, [[Alain Fabarez]]. Il se consacre actuellement à l'analyse financière.


==Citations==
==Citations==
* Les [[Too big to fail|TBTF]], les très grandes banques, couchent avec les Pouvoirs et les Banques Centrales, donc elles sont systémiquement initiées. Elles fixent, en concertation, la politique qui leur sera favorable, elles anticipent les inflexions. C'est ainsi que s'analysent les rencontres, dîners, concertations, consultations, les guidances, la fameuse transparence. Le système est conçu comme devant être dissymétrique. Opaque pour les uns, vous, et transparent pour les autres, eux. (L'Agefi, 10/04/2014)  
* Les [[Too big to fail|TBTF]], les très grandes banques, couchent avec les Pouvoirs et les Banques Centrales, donc elles sont systémiquement initiées. Elles fixent, en concertation, la politique qui leur sera favorable, elles anticipent les inflexions. C'est ainsi que s'analysent les rencontres, dîners, concertations, consultations, les guidances, la fameuse transparence. Le système est conçu comme devant être dissymétrique. Opaque pour les uns, vous, et transparent pour les autres, eux. (L'Agefi, 10/04/2014)  
* Le keynésianisme produit en cercle vicieux autoreproducteur le socialisme fabien, ce socialisme du grand capital qui appauvrit les classes moyennes, qui donne le pouvoir à la sociale démocratie alliée des riches et des banquiers. Il produit des fonctionnaires/ponctionnaires. Il donne justification aux pertes de libertés, aux impôts et contrôles sans cesse croissants. Il creuse les inégalités de la société à trois vitesses. La Grande Alliance d’un côté, de l’autre, les classes de moins en moins moyennes, et enfin, les ultra-pauvres dont on achète le calme avec les miettes du système. » (19/10/2013)  
* Le keynésianisme produit en cercle vicieux autoreproducteur le socialisme fabien, ce socialisme du grand capital qui appauvrit les classes moyennes, qui donne le pouvoir à la sociale démocratie alliée des riches et des banquiers. Il produit des fonctionnaires/ponctionnaires. Il donne justification aux pertes de libertés, aux impôts et contrôles sans cesse croissants. Il creuse les inégalités de la société à trois vitesses. La Grande Alliance d’un côté, de l’autre, les classes de moins en moins moyennes, et enfin, les ultra-pauvres dont on achète le calme avec les miettes du système. » (19/10/2013)  
* C’est une caractéristique de la domination des pouvoirs que d’imposer comme équivalentes des choses qui ne le sont pas. En politique, l’équivalence reine, celle qui est organisatrice de nos sociétés, c’est l’égalité, un homme en vaut un autre. Une voix en vaut une autre, c’est en ce sens que les démocraties sont structurellement, par construction, égalitaristes. La dérive a consisté à faire glisser l’équivalence politique à tous les domaines. On a favorisé, par démagogie, l’envahissement de l’égalitarisme à toutes les sphères de la société. (13/02/2014)


==Liens externes==
==Liens externes==

Version du 12 avril 2014 à 13:09

Bruno Bertez, né en 1944, est un entrepreneur français, spécialisé dans la presse. Diplômé de HEC (1967), il est le créateur du quotidien La Tribune. Il est actionnaire de l'Agefi suisse, et longtemps conseiller de son propriétaire, Alain Fabarez. Il se consacre actuellement à l'analyse financière.

Citations

  • Les TBTF, les très grandes banques, couchent avec les Pouvoirs et les Banques Centrales, donc elles sont systémiquement initiées. Elles fixent, en concertation, la politique qui leur sera favorable, elles anticipent les inflexions. C'est ainsi que s'analysent les rencontres, dîners, concertations, consultations, les guidances, la fameuse transparence. Le système est conçu comme devant être dissymétrique. Opaque pour les uns, vous, et transparent pour les autres, eux. (L'Agefi, 10/04/2014)
  • Le keynésianisme produit en cercle vicieux autoreproducteur le socialisme fabien, ce socialisme du grand capital qui appauvrit les classes moyennes, qui donne le pouvoir à la sociale démocratie alliée des riches et des banquiers. Il produit des fonctionnaires/ponctionnaires. Il donne justification aux pertes de libertés, aux impôts et contrôles sans cesse croissants. Il creuse les inégalités de la société à trois vitesses. La Grande Alliance d’un côté, de l’autre, les classes de moins en moins moyennes, et enfin, les ultra-pauvres dont on achète le calme avec les miettes du système. » (19/10/2013)
  • C’est une caractéristique de la domination des pouvoirs que d’imposer comme équivalentes des choses qui ne le sont pas. En politique, l’équivalence reine, celle qui est organisatrice de nos sociétés, c’est l’égalité, un homme en vaut un autre. Une voix en vaut une autre, c’est en ce sens que les démocraties sont structurellement, par construction, égalitaristes. La dérive a consisté à faire glisser l’équivalence politique à tous les domaines. On a favorisé, par démagogie, l’envahissement de l’égalitarisme à toutes les sphères de la société. (13/02/2014)

Liens externes