Vous pouvez contribuer simplement à Wikibéral. Pour cela, demandez un compte à adminwiki@liberaux.org. N'hésitez pas !


June Arunga

De Wikiberal
Aller à la navigation Aller à la recherche

June Arunga, née en 1981 au Kenya, est la fondatrice-présidente de la société "Open Quest Media LLC". Elle a obtenu son diplôme en droit de l'Université de Buckingham (Angleterre) et, en 2010, elle a été nommée parmi les 100 personnes les plus créatives en affaires par Fast Company. Elle écrit ses pensées libérales sur le blog d'African Liberty.org.

Le 10 mai 2008, June Arunga, Lisa Ling, Max Lugavere et Jason Silva ont lancé l'initiative du "Pangea Day". Cet événement multimédia mondial a permis de relier les villes du Caire, de Kigali, de Londres, de Los Angeles, de Mumbai et de Rio de Janeiro à un public de millions de personnes dans le monde. Ce programme a diffusé 4 heures de films et de musique en sept langues différentes.

June Arunga est une femme d'affaires qui a travaillé avec plusieurs entreprises de télécommunications en Afrique. Elle a été directrice générale de la société "Black Star Line SA", et elle a produit de nombreux documentaires filmés dont "Ultimes ressources d'Afrique" et "La mondialisation est bonne". Elle a réalisé deux émissions sur l'Afrique avec la BBC dont "Sentier du diable", qui documente son trajet de six semaines du Caire jusqu'à Cape Town, et un autre documentaire, "Qui doit-on blâmer ?", qui présente un débat / dialogue entre elle-même et l'ancien président ghanéen, Jerry Rawlings.

Elle est également membre du comité consultatif de l'Université du Peuple et membre du conseil consultatif de Moving Image Institut et de Global Envision. Elle est aussi membre de l'International Policy Network (Londres, Angleterre) et de l'Istituto Bruno Leoni (Milan, Italie).

June Arunga soutient le capitalisme de libre marché en Afrique et elle souhaite que les africains s'engagent dans l'économie mondiale grâce à la liberté du commerce. Son point de vue est systématiquement favorable au libre-échange, quand elle critique les « zones commerciales » qui offrent des privilèges spéciaux (et parfois des violations de droits de propriété aux populations locales) à des investisseurs étrangers ou des élites locales privilégiés qui nient aux autres la liberté d'échanger ou d'investir sur une base équitable. Elle appelle au respect des droits de propriété des hommes et des femmes africains. Elle lutte pour un capitalisme de libre marché non faussé par les privilèges et les pouvoirs de monopole initiés par l'Etat.

Publications