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Stéphane Geyres
Stéphane Geyres | |||||
Blogueur | |||||
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Dates | 1962- | ||||
Tendance | Anarcho-capitaliste | ||||
Nationalité | France | ||||
Articles internes | Autres articles sur Stéphane Geyres | ||||
Citation | |||||
Interwikis sur Stéphane Geyres | |||||
Stéphane Geyres, né le 3 mars 1962 près de Bordeaux, est un auteur et webconférencier anarcho-capitaliste français. Il défend des positions pro-liberté et se revendique de la pensée de Murray Rothbard et de ses héritiers, Hans-Hermann Hoppe en particulier.
Auteur de la newsletter électronique Lettres de Libéralie[1], il anime également des murs X[2], Facebook[3] et Instagram[4] et organise, le troisième mardi de chaque mois, le Café Jaune et Noir dans le café "Zango Les Halles" à Paris.
Il est consultant de profession.
Écriture
Ouvrages
Il est avec Ulrich Genisson le co-éditeur du projet de livre Libres ! 100 idées, 100 auteurs, puis en 2014 du livre Libres !! - 100 idées / 100 auteurs / 100 feuillets.
Il a été un des premiers traducteurs bénévoles de l’Institut Coppet dont il a été aussi trésorier[5].
En 2023, il écrit puis édite et publie Liberté Manifeste.
Communication sur Internet
Actuellement, il est l'auteur de la newsletter électronique Lettres de Libéralie[1]. Il anime également des murs X[2], Facebook[3] et Instagram[4].
Campagne électorale
Il a été le candidat du Parti libertarien français (alors « Mouvement des Libertariens ») aux élections législatives partielles de Villeneuve-sur-Lot de juin 2013, qui devait désigner un successeur à Jérôme Cahuzac. Il a réuni 0,17 % des suffrages sur son nom.
Citations
- « L’étatisme (...) est cette croyance, mouvance, idéologie, appelons cela comme on veut, qui voudrait nous faire croire que l’état (bureaucratie) serait légitime à intervenir dans de nombreux champs de la vie sociale, pour ne pas dire tous. »
- « La monnaie est de la richesse à venir. »
- « La vraie liberté, ce n'est pas le droit de vote, c'est le droit de veto. »
- « Les administrations ne produisent aucune richesse. Cela va sûrement en choquer plus d'un, mais c'est pourtant très facile à démontrer. Deux arguments. Le premier, c'est que si l’État produisait de la richesse, pourquoi aurait-il besoin de nous imposer des taxes pour se financer ? De plus, imaginez que les prestations administratives soient payantes. Lesquelles achèteriez-vous volontairement ? » (01/02/2013)
Notes et références
Voir aussi
Liens externes
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